Les travailleurs des collectivités territoriales regroupés dans les organisations comme SUDTM, FGTS, B-SNTCLS, CNTS-SUTRACOLS, FCSUTMS,UNSAS comptent aller en grève à partir de ce mercredi 7 février 2024. Les centrales dénoncent la non application des recommandations fortes édictées lors de la rencontre tenue le 10 novembre 2023 à la primature, instruisant les services en charge du dossier, au sein d’une commission ad hoc, de produire des actes réglementaires dans un délai de dix jours (10) pour un règlement définitif de ce droit légitime réclamé par les travailleurs des collectivités territoriales.
"L’intersyndicale se rend compte, à l’évidence, que le gouvernement a opté pour un dilatoire, car n’ayant signalé aucune assurance pour le règlement de cette affaire. Non sans magnifier la modification du décret n°2012-284 du 17 février 2012, fixant le régime spécial applicable aux agents non fonctionnaires des collectivités locales, dont la validation s’est faite au sein du comité en présence de l’ISTCTS, et qui donne désormais le droit légal de bénéficier de ces augmentations en question, aux agents fonctionnaires et non fonctionnaires des collectivités territoriales, l’intersyndicale se voit aujourd’hui dans l’obligation de se dresser à nouveau face au gouvernement pour corser la lutte jusqu’à satisfaction totale", menace l'intersyndicale.
Le mépris du gouvernement
Pour rappel, l’intersyndicale ayant défendu l’amélioration du statut local comme en atteste sa contribution lue par feu Sidya NDIAYE (RTA) devant le Chef de l’Etat lors de la journée nationale de la décentralisation tenue le 8 décembre 2022 au Grand Théâtre, considère avoir suffisamment démontré son attachement à la justice sociale et à la création de collectivités territoriales viables et durables.
"Considérant, par ce fait, que le gouvernement privilégie son agenda politique au détriment de la justice sociale en faveur des travailleurs des collectivités territoriales, l’intersyndicale prend l’opinion en témoin et dégage toutes ses responsabilités aux conséquences engendrées par ce mépris du gouvernement. A cet effet, elle décrète : 72 heures de grève les mercredi 7, jeudi 8 et vendredi 9 février 2024, sur l’étendue territoire national et n’exclut pas d’aller vers des grèves de 96 à 120 heures, pour corser son plan d’action." L’intersyndicale exige le paiement de cette revalorisation salariale au même titre que les autres secteurs d’activité de notre pays
"L’intersyndicale se rend compte, à l’évidence, que le gouvernement a opté pour un dilatoire, car n’ayant signalé aucune assurance pour le règlement de cette affaire. Non sans magnifier la modification du décret n°2012-284 du 17 février 2012, fixant le régime spécial applicable aux agents non fonctionnaires des collectivités locales, dont la validation s’est faite au sein du comité en présence de l’ISTCTS, et qui donne désormais le droit légal de bénéficier de ces augmentations en question, aux agents fonctionnaires et non fonctionnaires des collectivités territoriales, l’intersyndicale se voit aujourd’hui dans l’obligation de se dresser à nouveau face au gouvernement pour corser la lutte jusqu’à satisfaction totale", menace l'intersyndicale.
Le mépris du gouvernement
Pour rappel, l’intersyndicale ayant défendu l’amélioration du statut local comme en atteste sa contribution lue par feu Sidya NDIAYE (RTA) devant le Chef de l’Etat lors de la journée nationale de la décentralisation tenue le 8 décembre 2022 au Grand Théâtre, considère avoir suffisamment démontré son attachement à la justice sociale et à la création de collectivités territoriales viables et durables.
"Considérant, par ce fait, que le gouvernement privilégie son agenda politique au détriment de la justice sociale en faveur des travailleurs des collectivités territoriales, l’intersyndicale prend l’opinion en témoin et dégage toutes ses responsabilités aux conséquences engendrées par ce mépris du gouvernement. A cet effet, elle décrète : 72 heures de grève les mercredi 7, jeudi 8 et vendredi 9 février 2024, sur l’étendue territoire national et n’exclut pas d’aller vers des grèves de 96 à 120 heures, pour corser son plan d’action." L’intersyndicale exige le paiement de cette revalorisation salariale au même titre que les autres secteurs d’activité de notre pays