Après le scandale de Baltasar Ebang Engonga, directeur de l’administration fiscale en Guinée équatoriale accusé d’avoir filmé des relations intimes avec plus de 400 femmes dans son bureau, un nouveau scandale éclate au Sénégal. Un entrepreneur spécialisé dans la gestion d’appartements meublés de luxe à Dakar est au cœur d’une affaire de surveillance illégale, ayant secrètement enregistré ses clients dans des situations intimes.
Identifié sous le nom de S. Diallo, l’accusé aurait installé des caméras dissimulées dans cinq appartements haut de gamme situés dans le quartier prestigieux de Ngor-Almadies. Ces logements, prisés par une clientèle aisée, étaient dotés de dispositifs de surveillance permettant de capturer des angles stratégiques dans les chambres, notamment sur les lits. Grâce à un système de diffusion en temps réel, S. Diallo accédait instantanément aux images.
La Division de la cybersécurité a mené une enquête approfondie, permettant de saisir plus de 100 vidéos compromettantes stockées sur le téléphone de l’accusé. Ces enregistrements, réalisés à l’insu des occupants, auraient été utilisés à des fins personnelles. Interrogé, S. Diallo a admis avoir visionné ces vidéos pour « son plaisir personnel ».
Parmi les victimes identifiées figurent plus de cinquante couples, dont une dizaine apparaissait régulièrement dans les enregistrements. Certaines de ces personnes appartiennent à des cercles sociaux influents, ce qui ajoute une dimension sensible à l’affaire.
Déféré devant le procureur de la République près du Tribunal de grande instance de Dakar, S. Diallo est poursuivi pour « collecte illégale et stockage de données personnelles ». Les autorités travaillent activement pour empêcher la diffusion de ces vidéos et déterminer l’étendue réelle des activités de l’accusé.
Selon L’Observateur, cette opération illégale aurait duré plusieurs mois. Les enquêteurs ont combiné des analyses technologiques avec des recoupements sur le terrain pour démanteler ce réseau de surveillance clandestin.
Le scandale a suscité l’indignation parmi la clientèle concernée, notamment des personnalités influentes, qui dénoncent une atteinte grave à leur vie privée. Les autorités sénégalaises ont promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les droits des victimes et sanctionner sévèrement les responsables.
Identifié sous le nom de S. Diallo, l’accusé aurait installé des caméras dissimulées dans cinq appartements haut de gamme situés dans le quartier prestigieux de Ngor-Almadies. Ces logements, prisés par une clientèle aisée, étaient dotés de dispositifs de surveillance permettant de capturer des angles stratégiques dans les chambres, notamment sur les lits. Grâce à un système de diffusion en temps réel, S. Diallo accédait instantanément aux images.
La Division de la cybersécurité a mené une enquête approfondie, permettant de saisir plus de 100 vidéos compromettantes stockées sur le téléphone de l’accusé. Ces enregistrements, réalisés à l’insu des occupants, auraient été utilisés à des fins personnelles. Interrogé, S. Diallo a admis avoir visionné ces vidéos pour « son plaisir personnel ».
Parmi les victimes identifiées figurent plus de cinquante couples, dont une dizaine apparaissait régulièrement dans les enregistrements. Certaines de ces personnes appartiennent à des cercles sociaux influents, ce qui ajoute une dimension sensible à l’affaire.
Déféré devant le procureur de la République près du Tribunal de grande instance de Dakar, S. Diallo est poursuivi pour « collecte illégale et stockage de données personnelles ». Les autorités travaillent activement pour empêcher la diffusion de ces vidéos et déterminer l’étendue réelle des activités de l’accusé.
Selon L’Observateur, cette opération illégale aurait duré plusieurs mois. Les enquêteurs ont combiné des analyses technologiques avec des recoupements sur le terrain pour démanteler ce réseau de surveillance clandestin.
Le scandale a suscité l’indignation parmi la clientèle concernée, notamment des personnalités influentes, qui dénoncent une atteinte grave à leur vie privée. Les autorités sénégalaises ont promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les droits des victimes et sanctionner sévèrement les responsables.