L'affaire remonte au 26 octobre 2014, lorsque Senzo Meyiwa est tué par balle alors qu’il rend visite à sa maîtresse, la chanteuse Kelly Khumalo, dans la banlieue sud de Johannesburg. La version officielle, un cambriolage qui aurait mal tourné, a longtemps servi d'explication au meurtre. C’est désormais la piste de l’assassinat qui est privilégiée.
Cinq hommes sont maintenant sur le banc des accusés, devant la Haute cour de Pretoria. Plusieurs d'entre eux ont déjà reçu de lourdes condamnations pour d’autres crimes, sans connexion. Selon l’un des avocats de la défense, deux d’entre eux seraient prêts à confesser le meurtre de l’ancienne star du football.
Pourtant, cette piste ne parvient pas à convaincre le frère de Senzo Meyiwa, qui accuse la police de ne pas se concentrer sur les bonnes personnes et d’essayer de cacher quelque chose.
Ce procès tient d’autant plus tout le pays en haleine, car la plateforme Netflix a mis en ligne, depuis le début du mois, une série documentaire en cinq épisodes qui revient en détail sur l’affaire et ses zones d’ombres.
Il s’agit également d’un dossier capital pour la police et le parquet sud-africains qui jouent leur réputation, alors que les critiques se sont accumulées ces sept dernières années pour le manque d’avancée dans l’enquête malgré le nombre de témoins présents au moment de l’attaque.
Cinq hommes sont maintenant sur le banc des accusés, devant la Haute cour de Pretoria. Plusieurs d'entre eux ont déjà reçu de lourdes condamnations pour d’autres crimes, sans connexion. Selon l’un des avocats de la défense, deux d’entre eux seraient prêts à confesser le meurtre de l’ancienne star du football.
Pourtant, cette piste ne parvient pas à convaincre le frère de Senzo Meyiwa, qui accuse la police de ne pas se concentrer sur les bonnes personnes et d’essayer de cacher quelque chose.
Ce procès tient d’autant plus tout le pays en haleine, car la plateforme Netflix a mis en ligne, depuis le début du mois, une série documentaire en cinq épisodes qui revient en détail sur l’affaire et ses zones d’ombres.
Il s’agit également d’un dossier capital pour la police et le parquet sud-africains qui jouent leur réputation, alors que les critiques se sont accumulées ces sept dernières années pour le manque d’avancée dans l’enquête malgré le nombre de témoins présents au moment de l’attaque.