Alors qu’il est actuellement engagé dans un projet pour l’électricité en Afrique, Akon est poursuivi par l’un de ses anciens associés. Le chanteur a commencé sa carrière en 2004, et à cette époque, il s’associe à un homme, Devyne Stephens. Ils deviennent partenaires et créent ensemble label, Konvict Music.
La maison de disques d’Akon qui a signé des artistes comme Lady gaga, Kandi Burruss ou encore T-Pain. Devyne, qui est à la fois, agent, manager, producteur, était censé recevoir 40% de tous les revenus engrenés par Akon.
Les gains s’élèveraient à 400 000 de dollars, et il aurait donc toucher 150.000 dollars, ce qu’il dit n’avoir pas du tout reçu. Il n’aurait rien reçu de la somme qui lui était due et après avoir arrêté toute collaboration avec Akon, en 2015, il le traine aujourd’hui devant les tribunaux.
L’affaire est d’autant plus complexe que c’est Stephens, qui avait signé Akon sur son label, après que la maison de disques américaine, Elektra Records, ait décidé de ne plus travailler avec lui.
On espère qu’ils sauront trouver une solution, sans que cela ne trouble les projets sociaux d’Akon dans les pays Africains.
Trace.tv
La maison de disques d’Akon qui a signé des artistes comme Lady gaga, Kandi Burruss ou encore T-Pain. Devyne, qui est à la fois, agent, manager, producteur, était censé recevoir 40% de tous les revenus engrenés par Akon.
Les gains s’élèveraient à 400 000 de dollars, et il aurait donc toucher 150.000 dollars, ce qu’il dit n’avoir pas du tout reçu. Il n’aurait rien reçu de la somme qui lui était due et après avoir arrêté toute collaboration avec Akon, en 2015, il le traine aujourd’hui devant les tribunaux.
L’affaire est d’autant plus complexe que c’est Stephens, qui avait signé Akon sur son label, après que la maison de disques américaine, Elektra Records, ait décidé de ne plus travailler avec lui.
On espère qu’ils sauront trouver une solution, sans que cela ne trouble les projets sociaux d’Akon dans les pays Africains.
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