Nouvelle Affaire à Ndiakhirate**
La Société nationale des habitations à loyers modérés (SN-Hlm) se retrouve de nouveau sous les projecteurs pour des pratiques contestables dans le domaine foncier. Cette fois-ci, c'est à Ndiakhirate, dans la commune de Bambilor, qu'une affaire a éclaté, mettant en lumière les prétentions de la société immobilière à s'approprier illégalement 3000 hectares de terre, alors qu'elle ne détiendrait légitimement que 74 hectares, acquis de manière douteuse.
En début de semaine, malgré une décision de justice contraignante ordonnant une main levée, la SN-HLM a été repérée sur le site TF 1107/R, tentant de détruire les bornes installées par la famille Thiandoum, propriétaire légitime. Cette action, menée en dépit des avertissements des nouvelles autorités de la République, suscite l'indignation des héritiers, d'autant plus que le nouveau directeur de la SN-HLM semble ne pas être informé de ces événements.
Le titre foncier mère, TF 1107/R, appartenant à la famille Thiandoum, aurait curieusement été transféré à la SN-Hlm. Cependant, les héritiers de feu Mandiaye Thiandoum ont dû batailler juridiquement et administrativement pour obtenir une reconnaissance de leur propriété, aboutissant à une main levée ordonnée par l'État.
Malgré des rencontres avec les autorités et des injonctions de divers organes, dont l'Ofnac, le ministère de la Justice et la Primature, reconnaissant les torts de la SN-Hlm, celle-ci persiste dans ses agissements. Des assignations pour arrêt de travaux sur le périmètre litigieux ont été émises à son encontre, en vain.
La famille Thiandoum lance un appel direct au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et au nouveau directeur de la SN-HLM pour mettre un terme à ces pratiques abusives. Le dossier du TF 1107/R semble être le cœur de cette affaire foncière, impliquant plusieurs services de l'État dans un réseau de titres dérivés frauduleux.
Cette nouvelle révélation jette une lumière crue sur les pratiques douteuses dans le secteur foncier, soulignant la nécessité d'une action rapide et ferme pour restaurer la justice et prévenir de futures violations.
La Société nationale des habitations à loyers modérés (SN-Hlm) se retrouve de nouveau sous les projecteurs pour des pratiques contestables dans le domaine foncier. Cette fois-ci, c'est à Ndiakhirate, dans la commune de Bambilor, qu'une affaire a éclaté, mettant en lumière les prétentions de la société immobilière à s'approprier illégalement 3000 hectares de terre, alors qu'elle ne détiendrait légitimement que 74 hectares, acquis de manière douteuse.
En début de semaine, malgré une décision de justice contraignante ordonnant une main levée, la SN-HLM a été repérée sur le site TF 1107/R, tentant de détruire les bornes installées par la famille Thiandoum, propriétaire légitime. Cette action, menée en dépit des avertissements des nouvelles autorités de la République, suscite l'indignation des héritiers, d'autant plus que le nouveau directeur de la SN-HLM semble ne pas être informé de ces événements.
Le titre foncier mère, TF 1107/R, appartenant à la famille Thiandoum, aurait curieusement été transféré à la SN-Hlm. Cependant, les héritiers de feu Mandiaye Thiandoum ont dû batailler juridiquement et administrativement pour obtenir une reconnaissance de leur propriété, aboutissant à une main levée ordonnée par l'État.
Malgré des rencontres avec les autorités et des injonctions de divers organes, dont l'Ofnac, le ministère de la Justice et la Primature, reconnaissant les torts de la SN-Hlm, celle-ci persiste dans ses agissements. Des assignations pour arrêt de travaux sur le périmètre litigieux ont été émises à son encontre, en vain.
La famille Thiandoum lance un appel direct au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et au nouveau directeur de la SN-HLM pour mettre un terme à ces pratiques abusives. Le dossier du TF 1107/R semble être le cœur de cette affaire foncière, impliquant plusieurs services de l'État dans un réseau de titres dérivés frauduleux.
Cette nouvelle révélation jette une lumière crue sur les pratiques douteuses dans le secteur foncier, soulignant la nécessité d'une action rapide et ferme pour restaurer la justice et prévenir de futures violations.