Comme pressenti suite au nouveau fiasco à la CAN 2023, Djamel Belmadi va quitter son poste de sélectionneur de l’Algérie.
Alors que la délégation algérienne est en train de quitter Bouaké et la Côte d’Ivoire pour rentrer au pays, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi a annoncé le départ de Belmadi, avec qui il est parvenu à un accord pour rompre son contrat, qui courait jusqu'en 2026.
« J'ai rencontré le sélectionneur national, M. Djamel Belmadi, pour discuter des conséquences de cette amère élimination, et nous sommes parvenus à un accord à l'amiable pour rompre notre collaboration et le contrat qui lie le sélectionneur à la Fédération Algérienne de Football. Nous remercions l'entraîneur Djamel Belmadi pour tout ce qu'il a fait pour l'équipe et lui souhaitons bonne chance pour la suite de sa carrière », a écrit le dirigeant sur X.
Des rumeurs insistantes indiquaient que le technicien avait annoncé son départ aux joueurs dans le vestiaire mardi juste après la défaite contre la Mauritanie (0-1). Après deux matchs nuls contre l'Angola (1-1) et le Burkina Faso (2-2), ce cuisant revers a scellé le sort des Fennecs, qui ont terminé derniers du groupe D de la CAN.
Un mandat en deux temps
Nommé en août 2018 après avoir fait ses preuves à la tête du Qatar, Belmadi a connu une première partie de mandat idyllique. Il a conduit l'Algérie au deuxième sacre à la CAN de son histoire, en 2019 en Egypte. Considéré comme le symbole des sélectionneurs “nationaux” à succès avec le Sénégalais Aliou Cissé, il a également mené son pays à une série d'invincibilité de 35 matchs qui fait office de record en Afrique. Mais la suite s'est révélée moins glorieuse à partir de 2022. Sortis sans gloire au premier tour de la CAN au Cameroun en tant que tenants du titre, les Algériens ont été éliminés en barrages du Mondial 2022 par le Cameroun deux mois plus tard.
Belmadi avait alors déjà songé à jeter l'éponge, mais les gestes d'affection démontrés par le vestiaire et les supporters l'avaient convaincu de poursuivre. D'abord avec succès puisque les Fennecs avaient bien relevé la tête depuis un an et demi et étaient de nouveau annoncés comme parmi les favoris de cette CAN. Mais le tournoi en Côte d'Ivoire lui aura été fatal, marquant le clap de fin d'un technicien usé et en rupture totale avec une bonne partie de la presse locale.
Alors que la délégation algérienne est en train de quitter Bouaké et la Côte d’Ivoire pour rentrer au pays, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi a annoncé le départ de Belmadi, avec qui il est parvenu à un accord pour rompre son contrat, qui courait jusqu'en 2026.
« J'ai rencontré le sélectionneur national, M. Djamel Belmadi, pour discuter des conséquences de cette amère élimination, et nous sommes parvenus à un accord à l'amiable pour rompre notre collaboration et le contrat qui lie le sélectionneur à la Fédération Algérienne de Football. Nous remercions l'entraîneur Djamel Belmadi pour tout ce qu'il a fait pour l'équipe et lui souhaitons bonne chance pour la suite de sa carrière », a écrit le dirigeant sur X.
Des rumeurs insistantes indiquaient que le technicien avait annoncé son départ aux joueurs dans le vestiaire mardi juste après la défaite contre la Mauritanie (0-1). Après deux matchs nuls contre l'Angola (1-1) et le Burkina Faso (2-2), ce cuisant revers a scellé le sort des Fennecs, qui ont terminé derniers du groupe D de la CAN.
Un mandat en deux temps
Nommé en août 2018 après avoir fait ses preuves à la tête du Qatar, Belmadi a connu une première partie de mandat idyllique. Il a conduit l'Algérie au deuxième sacre à la CAN de son histoire, en 2019 en Egypte. Considéré comme le symbole des sélectionneurs “nationaux” à succès avec le Sénégalais Aliou Cissé, il a également mené son pays à une série d'invincibilité de 35 matchs qui fait office de record en Afrique. Mais la suite s'est révélée moins glorieuse à partir de 2022. Sortis sans gloire au premier tour de la CAN au Cameroun en tant que tenants du titre, les Algériens ont été éliminés en barrages du Mondial 2022 par le Cameroun deux mois plus tard.
Belmadi avait alors déjà songé à jeter l'éponge, mais les gestes d'affection démontrés par le vestiaire et les supporters l'avaient convaincu de poursuivre. D'abord avec succès puisque les Fennecs avaient bien relevé la tête depuis un an et demi et étaient de nouveau annoncés comme parmi les favoris de cette CAN. Mais le tournoi en Côte d'Ivoire lui aura été fatal, marquant le clap de fin d'un technicien usé et en rupture totale avec une bonne partie de la presse locale.