Le président du groupe parlementaire de la coalition Benno Bokk Yakkar (Bby) n’écarte pas une probable amnistie des deux leaders politiques de l’opposition, Khalifa Ababacar Sall et Karim Meissa Wade.
Le parlementaire espère que le dialogue politique est le cadre où toutes les questions doivent être discutées. « Dès qu’il y a dialogue, dès qu’il y a échange, des forces qui ne se voyaient pas, qui ne se côtoyaient pas se mettent autour d’une table, tout est possible. Moi, je suis pour un Sénégal où tous ses fils se retrouvent autour de l’essentiel. Je ne suis pas pour un Sénégal d’invectives, un Sénégal des tranchées. Je suis pour un Sénégal de symbiose. Et ça, ce n’est que le dialogue. Le Président Senghor disait, le Sénégal était un pays de dialogue, c’était notre deuxième patronyme« , a fait savoir Aymérou Gningue.
Occasion
Selon le député, l’occasion est donné par le Président de la République qui a lancé le dialogue national. Cela, dit-il, pour que « les forces vives, les forces économiques, les forces, sociales, les forces politiques se retrouvent pour que demain nous puissions aller vers de consensus forts« . Et de préciser que les consensus forts exigent que chaque institution, au moment opportun, apporte sa pierre angulaire
Khalifa Sall et Karim Wade
Les deux leaders politiques de l’opposition ont été incarcérés puis graciés par le Président de la République Macky Sall. A l’heure actuelle, se pose la question dite du recouvrement de leurs droits civiques et politiques.
senego.com
Le parlementaire espère que le dialogue politique est le cadre où toutes les questions doivent être discutées. « Dès qu’il y a dialogue, dès qu’il y a échange, des forces qui ne se voyaient pas, qui ne se côtoyaient pas se mettent autour d’une table, tout est possible. Moi, je suis pour un Sénégal où tous ses fils se retrouvent autour de l’essentiel. Je ne suis pas pour un Sénégal d’invectives, un Sénégal des tranchées. Je suis pour un Sénégal de symbiose. Et ça, ce n’est que le dialogue. Le Président Senghor disait, le Sénégal était un pays de dialogue, c’était notre deuxième patronyme« , a fait savoir Aymérou Gningue.
Occasion
Selon le député, l’occasion est donné par le Président de la République qui a lancé le dialogue national. Cela, dit-il, pour que « les forces vives, les forces économiques, les forces, sociales, les forces politiques se retrouvent pour que demain nous puissions aller vers de consensus forts« . Et de préciser que les consensus forts exigent que chaque institution, au moment opportun, apporte sa pierre angulaire
Khalifa Sall et Karim Wade
Les deux leaders politiques de l’opposition ont été incarcérés puis graciés par le Président de la République Macky Sall. A l’heure actuelle, se pose la question dite du recouvrement de leurs droits civiques et politiques.
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