Le sauveur de la nation, c'est évidemment lui. Ce samedi, dans un match longtemps lénifiant, Lionel Messi a mis les siens sur les rails face au Mexique grâce à un but et une passe décisive (2-0). L'Albiceleste est totalement relancée en vue de la qualification mais aura fort à faire lors de son dernier match mercredi, face à la Pologne de Robert Lewandowski.
L'Argentine respire beaucoup mieux. Encore sonnée par sa défaite inaugurale devant l'Arabie Saoudite (1-2), elle a longtemps peiné mais a fini par venir à bout du Mexique, samedi, lors de la deuxième journée du groupe C (2-0). La lumière est venue de l'inévitable Lionel Messi qui a débloqué la situation après l'heure de jeu (64e). L'entrant Enzo Fernandez a doublé la mise (87e) et l'Albiceleste se relance complètement au contraire de son adversaire du jour.
Malgré les cinq changements effectués par Lionel Scaloni, les Argentins se sont tout de suite révélés très crispés. Ils auraient pu entamer ce match avec une folle envie d'attaquer pour rapidement mettre les choses au point mais ont fait tout le contraire. A la peine pour remonter le ballon face à des Mexicains bien en place et présents dans les duels, ils n'ont quasiment rien proposé d'intéressant en première période à l'image d'un Rodrigo De Paul très fébrile.
L'Argentine respire beaucoup mieux. Encore sonnée par sa défaite inaugurale devant l'Arabie Saoudite (1-2), elle a longtemps peiné mais a fini par venir à bout du Mexique, samedi, lors de la deuxième journée du groupe C (2-0). La lumière est venue de l'inévitable Lionel Messi qui a débloqué la situation après l'heure de jeu (64e). L'entrant Enzo Fernandez a doublé la mise (87e) et l'Albiceleste se relance complètement au contraire de son adversaire du jour.
Malgré les cinq changements effectués par Lionel Scaloni, les Argentins se sont tout de suite révélés très crispés. Ils auraient pu entamer ce match avec une folle envie d'attaquer pour rapidement mettre les choses au point mais ont fait tout le contraire. A la peine pour remonter le ballon face à des Mexicains bien en place et présents dans les duels, ils n'ont quasiment rien proposé d'intéressant en première période à l'image d'un Rodrigo De Paul très fébrile.