Au moment où ces lignes sont écrites, le procès d'Assane Diouf se poursuit toujours au niveau de la salle 4 du Palais de Justice. Me Ciré Clédor qui fait sa plaidoirie a révélé que lors de son arrestation, Assane Diouf lui avait juré qu'il n'allait plus insulter.
"Je ne suis pas fier de moi parce que je ne veux pas que mes enfants sortent un jour et qu'on les pointe du doigt en leur disant que votre père est un insulteur public numéro 1", a-t-il déclaré devant la barre.
Il poursuit : "Je m'excuse des insultes. Lors de l'avènement de la pandémie du Covid-19, le président de la République avait dit, que l'heure est grave, c'est en ce moment également que j'ai jugé nécessaire que l'heure était grave pour moi aussi de faire cette vidéo".
Sermonné par le juge, Assane Diouf promet qu'ils ne vont plus l'entendre insulter. Il précise qu'il est un soutien de famille. "Ma mère est vivante et je suis parti aux États-Unis pour pouvoir aider ma famille."
Ce que le prévenu, habillé tout en blanc, a confirmé sur interpellation de son avocat après avoir indiqué auparavant la même chose aux juges non sans présenter ses excuses. N'empêche, Assane Diouf estime qu'il a le droit de s'exprimer au même titre que Moustapha Cissé Lo ou Alioune Doumbourou Sow. Lors de son réquisitoire, le parquet a demandé 2 ans dont 8 mois ferme, rapporte Liberation Online.
"Je ne suis pas fier de moi parce que je ne veux pas que mes enfants sortent un jour et qu'on les pointe du doigt en leur disant que votre père est un insulteur public numéro 1", a-t-il déclaré devant la barre.
Il poursuit : "Je m'excuse des insultes. Lors de l'avènement de la pandémie du Covid-19, le président de la République avait dit, que l'heure est grave, c'est en ce moment également que j'ai jugé nécessaire que l'heure était grave pour moi aussi de faire cette vidéo".
Sermonné par le juge, Assane Diouf promet qu'ils ne vont plus l'entendre insulter. Il précise qu'il est un soutien de famille. "Ma mère est vivante et je suis parti aux États-Unis pour pouvoir aider ma famille."
Ce que le prévenu, habillé tout en blanc, a confirmé sur interpellation de son avocat après avoir indiqué auparavant la même chose aux juges non sans présenter ses excuses. N'empêche, Assane Diouf estime qu'il a le droit de s'exprimer au même titre que Moustapha Cissé Lo ou Alioune Doumbourou Sow. Lors de son réquisitoire, le parquet a demandé 2 ans dont 8 mois ferme, rapporte Liberation Online.