L'euphorie de départ a laissé place à un profond abattement. Matar Ba, suppléant d'El Malick Ndiaye sur la liste de Pastef lors des dernières élections législatives, s'attendait à une issue favorable, mais la réalité a été bien différente.
Hier matin, rapporte SourceA, Matar Ba s'est levé tôt, s'est habillé avec soin et s'est dirigé vers l'Assemblée nationale, convaincu que l'ancien ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens allait démissionner de son poste de député pour se consacrer pleinement à ses fonctions gouvernementales. Cela aurait automatiquement permis à Matar Ba d'accéder au statut de député de plein droit. Mais, à sa grande surprise, les choses ne se sont pas déroulées comme il l’avait prévu.
Vêtu d’un boubou blanc, l’écharpe distinctive des députés sur les épaules et l’insigne parlementaire accroché à son vêtement, Matar Ba s’est retrouvé désemparé lorsque, contre toute attente, El Malick Ndiaye a été élu président de l'Assemblée nationale. Le suppléant, qui espérait obtenir son titre de député, a dû repartir chez lui, sans la reconnaissance espérée.
Comment une telle situation a-t-elle pu se produire ? Matar Ba avait-il été informé qu'il allait effectivement devenir député ? Et comment l’écharpe officielle de l’Assemblée nationale a-t-elle été attribuée à un suppléant, sans certitude de sa prise de fonction ? Autant de questions qui restent sans réponse. Les tentatives de contact avec le suppléant du tout nouveau président de l’Assemblée nationale pour clarifier cette situation sont restées infructueuses. Notre rédaction lui a même envoyé un message écrit, mais n’a reçu aucune réponse à ce jour.
Hier matin, rapporte SourceA, Matar Ba s'est levé tôt, s'est habillé avec soin et s'est dirigé vers l'Assemblée nationale, convaincu que l'ancien ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens allait démissionner de son poste de député pour se consacrer pleinement à ses fonctions gouvernementales. Cela aurait automatiquement permis à Matar Ba d'accéder au statut de député de plein droit. Mais, à sa grande surprise, les choses ne se sont pas déroulées comme il l’avait prévu.
Vêtu d’un boubou blanc, l’écharpe distinctive des députés sur les épaules et l’insigne parlementaire accroché à son vêtement, Matar Ba s’est retrouvé désemparé lorsque, contre toute attente, El Malick Ndiaye a été élu président de l'Assemblée nationale. Le suppléant, qui espérait obtenir son titre de député, a dû repartir chez lui, sans la reconnaissance espérée.
Comment une telle situation a-t-elle pu se produire ? Matar Ba avait-il été informé qu'il allait effectivement devenir député ? Et comment l’écharpe officielle de l’Assemblée nationale a-t-elle été attribuée à un suppléant, sans certitude de sa prise de fonction ? Autant de questions qui restent sans réponse. Les tentatives de contact avec le suppléant du tout nouveau président de l’Assemblée nationale pour clarifier cette situation sont restées infructueuses. Notre rédaction lui a même envoyé un message écrit, mais n’a reçu aucune réponse à ce jour.