Le président de l’Union centriste du Sénégal (UCS), Abdoulaye Baldé s’insurge contre "l’accaparement" des médias publics et la "politisation" de l’administration par le régime de l’Alliance pour la république(APR), du président Macky Sall.
« La richesse de notre pays, c’est la croyance de nos institutions. Je l’avais dénoncé la politisation excessive de notre administration. Car une administration politisée ce sont des risques de conflits. L’administration publique est l’épine dorsale d’un pays. Elle ne doit pas être politisée. Les hommes passent et les institutions demeurent. Avec la nouvelle réforme, un président de la république ne doit plus faire plus de 10 ans à la tête du pays mais les fonctionnaires sont là pour des dizaines d’années », a fait savoir Abdoulaye Baldé lors de sa rencontre avec Me Mame Adama Gueye.
Sur ce même registre, le candidat de la coalition "Baldé 2019", n’est pas content de la gestion des médias publics par le régime en place. « Tous les organes de presses publics sont aujourd’hui contrôlés par des responsables de l’APR. Dans une république qui n’est pas aussi bananière on ne peut pas permettre cela (…) Il faut des gardes fous pour mettre fin à ces pratiques qui n'honorent pas notre nation », a-t-il dénoncé.
REGARDEZ
« La richesse de notre pays, c’est la croyance de nos institutions. Je l’avais dénoncé la politisation excessive de notre administration. Car une administration politisée ce sont des risques de conflits. L’administration publique est l’épine dorsale d’un pays. Elle ne doit pas être politisée. Les hommes passent et les institutions demeurent. Avec la nouvelle réforme, un président de la république ne doit plus faire plus de 10 ans à la tête du pays mais les fonctionnaires sont là pour des dizaines d’années », a fait savoir Abdoulaye Baldé lors de sa rencontre avec Me Mame Adama Gueye.
Sur ce même registre, le candidat de la coalition "Baldé 2019", n’est pas content de la gestion des médias publics par le régime en place. « Tous les organes de presses publics sont aujourd’hui contrôlés par des responsables de l’APR. Dans une république qui n’est pas aussi bananière on ne peut pas permettre cela (…) Il faut des gardes fous pour mettre fin à ces pratiques qui n'honorent pas notre nation », a-t-il dénoncé.
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