Aussitôt son procès renvoyé jeudi matin, que Barthélémy Diaz convie la presse dans la mairie de Sacré-Cœur-Mermoz, dans la soirée. Galvanisé par une foule venue nombreuse le soutenir, le responsable socialiste fait des révélations gravissimes dans cette affaire du meurtre de Ndiaga Diouf.
« Il (Serigne Bassirou Gueye, ancien procureur général de la République) m’écoute et il sait de quoi je parle. A trois reprises, j’ai refusé un non-lieu total dans cette affaire. Parce que s’il n’y pas procès, je considère que c’est ma carrière politique qui est entachée », a révélé Barthélémy Dias.
Et ne s’arrêtant pas en si bon chemin, le socialiste d’en rajouter cette autre couche. « Les gardes du corps du président Wade impliqués dans cette affaire, n’ont pas fait 4 tours d’horloge en prison. Ils sont arrivés vers 16 heures mais avant 20 heures, leur dossier d’instruction bouclé, ils ont bénéficié d’un non-lieu total à la surprise générale de tous », rappelle-t-il, non sans souligner que ce procès est un « complot contre sa personne pour l’éliminer politiquement, car certains ne voudraient plus le voir siéger à l’Hémicycle ».
Néanmoins, puisque l’affaire appelle à l’intelligence des Sénégalais, « le procès doit se tenir pour que justice se fasse », insiste-il.
Actusen.com
« Il (Serigne Bassirou Gueye, ancien procureur général de la République) m’écoute et il sait de quoi je parle. A trois reprises, j’ai refusé un non-lieu total dans cette affaire. Parce que s’il n’y pas procès, je considère que c’est ma carrière politique qui est entachée », a révélé Barthélémy Dias.
Et ne s’arrêtant pas en si bon chemin, le socialiste d’en rajouter cette autre couche. « Les gardes du corps du président Wade impliqués dans cette affaire, n’ont pas fait 4 tours d’horloge en prison. Ils sont arrivés vers 16 heures mais avant 20 heures, leur dossier d’instruction bouclé, ils ont bénéficié d’un non-lieu total à la surprise générale de tous », rappelle-t-il, non sans souligner que ce procès est un « complot contre sa personne pour l’éliminer politiquement, car certains ne voudraient plus le voir siéger à l’Hémicycle ».
Néanmoins, puisque l’affaire appelle à l’intelligence des Sénégalais, « le procès doit se tenir pour que justice se fasse », insiste-il.
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