Barthélémy : Un jazz qui ne fait plus danser.

  Qui ne se rappelle pas de ses fameuses sorties acerbes, bardées d'insanités envers le pape du Sopi ?Sommes nous amnésiques, au point d'oublier, ses rafales dignes d'un western qui ont coûté la vie à Ndiaga Diouf et que dans cette affaire, il a été reconnu coupable et condamné? Non loin de chercher des arguments pour se frayer tout seul un chemin pour convaincre les sénégalais, Barth, se verse honteusement dans la menace et les injures.


Cette forme de politique politicienne qui ne prospère plus, sonne le glas de la mort anticipée d'une opposition qui va bientôt  connaître un enterrement de première classe lors des prochaines élections législatives du 17 Novembre prochain.
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Dès lors, on comprend pourquoi toutes ces agitations et les  attaques intempestives en direction de la coalition gagnante sous la bannière de Pastef les patriotes.

Plutôt que de faire valoir la force de l'argument, et de se prévaloir par la compétence, Diaz et sa clique, ont choisi de faire parler les armes et d'utiliser la menace comme argument de campagne.
Une démonstration caduque et obsolète à l'heure où les débats d'idées, les raisonnements logiques, doivent occuper la place publique au détriment d'actions barbares et sanguinaires d'une autre ère moyenâgeuse pour être plus précis.
Malheureusement, quand le jazz ne fait plus danser, l'on risque inéluctablement de tomber dans les travers d'une mauvaise exécution de la chorégraphie.
La vérité est que les sénégalais vous ont tourné le dos, et que la "sonkorisation" est tellement audible, qu'elle vous empêche de  retrouver votre lucidité à défaut de trop lever le coude parfois.

La politique est une affaire sérieuse et elle se fait par la tête, la tortuosité intellectuelle et les calculs mesquins n'ont pas leurs places. PASTEF les patriotes dispose de tous les moyens de vous rendre insignifiants dans le terrain du politiquement correct ou dans l'espace du rapport de force, sauf que: En luttant contre un cannibal, on peut tout se permettre, sauf de le manger.

Nous n'allons jamais descendre à votre niveau pour les raisons sus mentionnées, ce serait un énorme gâchis, nous réserverons notre réponse au soir du 17 Novembre afin de te montrer que l'espèce rare en voie de disparition que tu es, serait définitivement rayée de la carte politique sénégalaise.
Babou Bamba
Pastef Grand Yoff