Selon des confidences recueillies par L'Observateur, Josée Christiane, la Belge tuée par son époux sénégalais, était une coiffeuse professionnelle. D'après le journal, elle tenait son salon dans sa ville, à Anderlecht, une des communes de la région de Bruxelles.
Un grave accident de la route l'a empêchée d'exercer son métier. Elle a eu des problèmes de colonne vertébrale et ne pouvait pas rester debout très longtemps.
Elle rate ainsi toutes ses reconversions professionnelles et vit de ses indemnités de chômage dans son appartement à une chambre à Anderlecht.
Avant de rencontrer son mari sénégalais M. G. Sarr, Josée s'était mariée, dans un premier temps, à un Congolais établi à Bruxelles.
L'union a duré le temps d'une rose. En 1995, elle effectue un voyage en Côte d'Ivoire. Après 6 ans de mariage, le divorce est prononcé.
Un grave accident de la route l'a empêchée d'exercer son métier. Elle a eu des problèmes de colonne vertébrale et ne pouvait pas rester debout très longtemps.
Elle rate ainsi toutes ses reconversions professionnelles et vit de ses indemnités de chômage dans son appartement à une chambre à Anderlecht.
Avant de rencontrer son mari sénégalais M. G. Sarr, Josée s'était mariée, dans un premier temps, à un Congolais établi à Bruxelles.
L'union a duré le temps d'une rose. En 1995, elle effectue un voyage en Côte d'Ivoire. Après 6 ans de mariage, le divorce est prononcé.