Le gouvernement Talon entre, sans autres formes protocolaires, dans sa dynamique de rupture. Deux mois déjà, et les Béninois, chacun dans son secteur, sentent déjà les nombreuses réformes annoncées et en voie d’exécution sous le gouvernement de la rupture. La dernière mesure administrative en date est celle de la suppression des perdiems et frais de missions, de commissions et de tout autre comité qui seront désormais mis en place par le régime actuel.
C’est le communiqué final du dernier conseil des ministres du mercredi 1er juin qui fait cas de cette mesure dans les administrations publiques et services d’Etat. Par cette mesure, le conseil des ministres vient mettre fin à ces frais, souvent qualifiés de trop dans les administrations. Pourquoi avoir institué un tel frais dans l’exercice des fonctions d’un agent de l’Etat pourtant payé à chaque fin du mois avec tous les avantages liés à son poste. C’est la grande question qu’on ne cesse de se poser quand on sait que depuis plus d’une décennie, c’est une pagaille qui s’observe autour. Et pour Camille, Un administrateur retraité, « l’idée était venue afin de stimuler et d’encourager les agents commis pour une tâche spécifique et surtout en dehors de son lieu habituel de service ». Mais malheureusement, cette mesure a, au fil des temps, perdu tout son sens où du moins, à été galvaudé par les « vautours » de l’administration.
C’est aujourd’hui un secret de polichinelle que les journalistes, pour la plupart, vivent au dépens de ces perdiems et frais de missions. Avec cette suppression, beaucoup voudront se mordre les doigts sans pour autant y parvenir. La décision ainsi prise, on constatera, dans les semaines et mois à venir, l’effectivité sur le terrain, c’est-à-dire dans les administrations béninoises.
C’est le communiqué final du dernier conseil des ministres du mercredi 1er juin qui fait cas de cette mesure dans les administrations publiques et services d’Etat. Par cette mesure, le conseil des ministres vient mettre fin à ces frais, souvent qualifiés de trop dans les administrations. Pourquoi avoir institué un tel frais dans l’exercice des fonctions d’un agent de l’Etat pourtant payé à chaque fin du mois avec tous les avantages liés à son poste. C’est la grande question qu’on ne cesse de se poser quand on sait que depuis plus d’une décennie, c’est une pagaille qui s’observe autour. Et pour Camille, Un administrateur retraité, « l’idée était venue afin de stimuler et d’encourager les agents commis pour une tâche spécifique et surtout en dehors de son lieu habituel de service ». Mais malheureusement, cette mesure a, au fil des temps, perdu tout son sens où du moins, à été galvaudé par les « vautours » de l’administration.
C’est aujourd’hui un secret de polichinelle que les journalistes, pour la plupart, vivent au dépens de ces perdiems et frais de missions. Avec cette suppression, beaucoup voudront se mordre les doigts sans pour autant y parvenir. La décision ainsi prise, on constatera, dans les semaines et mois à venir, l’effectivité sur le terrain, c’est-à-dire dans les administrations béninoises.