Beyoncé Giselle Knowles-Carter, de son nom de scène Beyoncé, est une star du RnB, mais aussi une business angel active dans plusieurs sociétés, notamment issues de la FoodTech. Voici son portrait d’investisseur.
Beyoncé Giselle Knowles-Carter, de son nom de scène Beyoncé, détient une fortune personnelle estimée à plus de 400 millions de dollars (données Forbes). À 38 ans, la reine du RnB qui fait partie des femmes les plus puissantes du monde, a construit son empire en chantant, c’est aussi femme d’affaires intuitive qui s’est impliquée dans plusieurs projets entrepreneuriaux de choix. Lecture associée Les meilleures citations sur la réussite et le succès.
Beyoncé, femme d’affaires sur tous les fronts
Beyoncé démarre sa carrière d’artiste au sein du groupe de RnB Destiny’s Child avant d’entamer une carrière solo avec le succès phénoménal qu’on lui connaît. Queen Bey, comme l’appellent ses fans, est douée pour le chant et la danse, et développe aussi très vite son sens des affaires. Outre ses cachets astronomiques, ses négociations avec Netflix et HBO pour sortir des documentaires retentissants, ses apparitions dans les publicités pour des marques de haute volée (Georgio Armani, American Express, L’Oréal…), la star lance sa propre marque de parfum en 2010 appelée « Beyoncé Heat ». Quelque temps plus tard, elle monte d’un cran en fondant sa propre société de production Parkwood Entertainment.
Une ligne de vêtements avec le milliardaire Philippe Green
En 2014, Beyoncé s’associe avec la chaîne vestimentaire TopShop du milliardaire et magnat de la mode britannique Philippe Green, pour cofonder Ivy Park, une marque de vêtements sportifs accessible à toutes les bourses (les prix démarrent autour de 25 dollars), selon la volonté de Beyoncé. En effet issue d’une famille modeste, elle a toujours affirmé ne pas oublier ses racines et souhaiter proposer des produits à prix abordable pour tous ses fans. En 2018, elle rachètera les parts de TopShop dans Ivy Park.
Beyoncé Giselle Knowles-Carter, de son nom de scène Beyoncé, détient une fortune personnelle estimée à plus de 400 millions de dollars (données Forbes). À 38 ans, la reine du RnB qui fait partie des femmes les plus puissantes du monde, a construit son empire en chantant, c’est aussi femme d’affaires intuitive qui s’est impliquée dans plusieurs projets entrepreneuriaux de choix. Lecture associée Les meilleures citations sur la réussite et le succès.
Beyoncé, femme d’affaires sur tous les fronts
Beyoncé démarre sa carrière d’artiste au sein du groupe de RnB Destiny’s Child avant d’entamer une carrière solo avec le succès phénoménal qu’on lui connaît. Queen Bey, comme l’appellent ses fans, est douée pour le chant et la danse, et développe aussi très vite son sens des affaires. Outre ses cachets astronomiques, ses négociations avec Netflix et HBO pour sortir des documentaires retentissants, ses apparitions dans les publicités pour des marques de haute volée (Georgio Armani, American Express, L’Oréal…), la star lance sa propre marque de parfum en 2010 appelée « Beyoncé Heat ». Quelque temps plus tard, elle monte d’un cran en fondant sa propre société de production Parkwood Entertainment.
Une ligne de vêtements avec le milliardaire Philippe Green
En 2014, Beyoncé s’associe avec la chaîne vestimentaire TopShop du milliardaire et magnat de la mode britannique Philippe Green, pour cofonder Ivy Park, une marque de vêtements sportifs accessible à toutes les bourses (les prix démarrent autour de 25 dollars), selon la volonté de Beyoncé. En effet issue d’une famille modeste, elle a toujours affirmé ne pas oublier ses racines et souhaiter proposer des produits à prix abordable pour tous ses fans. En 2018, elle rachètera les parts de TopShop dans Ivy Park.
1er pas d’investisseur aux côtés de son mari Jay-Z
Et si les années 2010 à 2014 étaient consacrées à la fondation de ses propres business, 2014 marque un tournant pour la star : elle commence à investir dans des projets portés par d’autres entrepreneurs, et devient investisseur – business angel. En 2014, elle détient des parts très importantes, dans le service de musique en streaming appelé Tidal, fondé par son mari Jay-Z.
Une entrée remarquée dans le capital d’Uber
En 2015, les dirigeants d’Uber proposent à la chanteuse de réaliser un concert privé pour les salariés de la société, moyennant un cachet de 6 millions de dollars. La star accepte à une condition : transformer son cachet en stock-options pour devenir actionnaire Uber. À l’époque, la startup n’est pas cotée en bourse, le risque est là, mais Beyoncé le prend. Plus tard, lors de son introduction sur le marché, le bénéfice de l’opération pour Beyoncé ne sera pas révélé, laissant libre court à toutes sortes de spéculations. Certains l’estimeront à 9 millions de dollars quand d’autres l’imagineront autour de 300 millions.
Le mantra de Beyoncé : un monde plus sain et accessible à tous
Après ces expériences, Beyoncé peaufine son profil d’investisseur. Participer à un monde meilleur avec des projets sains et accessibles à tous : tels sont ses nouveaux mantras de la business angel, qui la guident dans ses choix d’investissement. En 2017, à la naissance de ses jumeaux, elle teste un programme nutritionnel végan de remise en forme « 22 days nutrition » du coach Marco Borges. Séduite, elle investit dans le capital de la société, en plus d’en faire la publicité gratuite via ses réseaux sociaux.
Dans le même esprit, Beyoncé s’intéresse à WTRMLN WTR, qui propose du jus de pastèque pressé à froid avec des valeurs telles que le respect du produit et de la nature, ainsi que la lutte contre le gaspillage alimentaire, des fondamentaux que soutient régulièrement Beyoncé en interview. La star n’en oublie pas son métier de chanteuse et place en 2016 150 000 dollars dans SideStep, une plateforme de vente de produits dérivés de concerts, et fait même partie de la liste des premiers investisseurs aux côtés d’Aston Kutcher, Snoop Dog ou encore Justion Bieber.
Des dons réguliers aux associations caritatives.
Enfin, Queen Bey fait aussi don de sa fortune en la distribuant régulièrement aux victimes de catastrophes naturelles ou au profit de l’éducation. Aucune information n’est encore disponible concernant l’éventuelle participation de la star à la lutte contre la crise sanitaire du Coronavirus, mais gageons qu’elle fera un don, comme c’est le cas de nombreuses personnalités actuellement.
cadre-dirigeant-magazine.com
Et si les années 2010 à 2014 étaient consacrées à la fondation de ses propres business, 2014 marque un tournant pour la star : elle commence à investir dans des projets portés par d’autres entrepreneurs, et devient investisseur – business angel. En 2014, elle détient des parts très importantes, dans le service de musique en streaming appelé Tidal, fondé par son mari Jay-Z.
Une entrée remarquée dans le capital d’Uber
En 2015, les dirigeants d’Uber proposent à la chanteuse de réaliser un concert privé pour les salariés de la société, moyennant un cachet de 6 millions de dollars. La star accepte à une condition : transformer son cachet en stock-options pour devenir actionnaire Uber. À l’époque, la startup n’est pas cotée en bourse, le risque est là, mais Beyoncé le prend. Plus tard, lors de son introduction sur le marché, le bénéfice de l’opération pour Beyoncé ne sera pas révélé, laissant libre court à toutes sortes de spéculations. Certains l’estimeront à 9 millions de dollars quand d’autres l’imagineront autour de 300 millions.
Le mantra de Beyoncé : un monde plus sain et accessible à tous
Après ces expériences, Beyoncé peaufine son profil d’investisseur. Participer à un monde meilleur avec des projets sains et accessibles à tous : tels sont ses nouveaux mantras de la business angel, qui la guident dans ses choix d’investissement. En 2017, à la naissance de ses jumeaux, elle teste un programme nutritionnel végan de remise en forme « 22 days nutrition » du coach Marco Borges. Séduite, elle investit dans le capital de la société, en plus d’en faire la publicité gratuite via ses réseaux sociaux.
Dans le même esprit, Beyoncé s’intéresse à WTRMLN WTR, qui propose du jus de pastèque pressé à froid avec des valeurs telles que le respect du produit et de la nature, ainsi que la lutte contre le gaspillage alimentaire, des fondamentaux que soutient régulièrement Beyoncé en interview. La star n’en oublie pas son métier de chanteuse et place en 2016 150 000 dollars dans SideStep, une plateforme de vente de produits dérivés de concerts, et fait même partie de la liste des premiers investisseurs aux côtés d’Aston Kutcher, Snoop Dog ou encore Justion Bieber.
Des dons réguliers aux associations caritatives.
Enfin, Queen Bey fait aussi don de sa fortune en la distribuant régulièrement aux victimes de catastrophes naturelles ou au profit de l’éducation. Aucune information n’est encore disponible concernant l’éventuelle participation de la star à la lutte contre la crise sanitaire du Coronavirus, mais gageons qu’elle fera un don, comme c’est le cas de nombreuses personnalités actuellement.
cadre-dirigeant-magazine.com