A Bignona, l’inquiétude qui planait chez les candidats au baccalauréat de cette session 2016 à cause de la crise profonde qui secoue le secteur, a vite été dissipé par le président du conseil départemental, Mamina Kamara. Ce dernier a engagé un professeur de philosophie, payé des temps d’antenne dans les radios locales du département de Bignona et permettre aux candidats de rattraper le temps perdu par les grèves. Ainsi, plusieurs thématiques ont été développées par le professeur et les candidats avaient l’opportunité d’intervenir en direct pour des éclaircissements. Une initiative qui a porté ses fruits puisque l’un des thèmes enseignés à la radio, a été donné aux examens des anticipés philo.
Le professeur commis pour armer les potaches pour la circonstance s’est réjouis de cette initiative. « Moi, au début, j’ai vu des écoles qui n’avaient pas de professeurs de philosophie. Et ce que le président du conseil départemental Mamina Kamara, c’est de la vision. Parce qu’elle va augmenter les chances de réussir de ces candidats pour le bonheur de leurs familles, de leurs parents, de leurs mamans. Parce que la plupart de ces élèves sont issus de familles pauvres et ils veulent un jour relever le défi et pouvoir mettre dans de bonnes conditions leurs familles » a témoigné, Simon Dioh, professeur de philosophie au lycée de Balinghor.
La pertinence de cette initiative s’explique également par le manque de professeur de philosophie dans certains établissements de cette partie du sud. Le bienfaiteur, Mamina Kamara promet pérenniser cette initiative en y mettant tout le matériel nécessaire pour augmenter les chances de réussir des jeunes de son département (Bignona).
Le professeur commis pour armer les potaches pour la circonstance s’est réjouis de cette initiative. « Moi, au début, j’ai vu des écoles qui n’avaient pas de professeurs de philosophie. Et ce que le président du conseil départemental Mamina Kamara, c’est de la vision. Parce qu’elle va augmenter les chances de réussir de ces candidats pour le bonheur de leurs familles, de leurs parents, de leurs mamans. Parce que la plupart de ces élèves sont issus de familles pauvres et ils veulent un jour relever le défi et pouvoir mettre dans de bonnes conditions leurs familles » a témoigné, Simon Dioh, professeur de philosophie au lycée de Balinghor.
La pertinence de cette initiative s’explique également par le manque de professeur de philosophie dans certains établissements de cette partie du sud. Le bienfaiteur, Mamina Kamara promet pérenniser cette initiative en y mettant tout le matériel nécessaire pour augmenter les chances de réussir des jeunes de son département (Bignona).