Selon L’Observateur, Alima Sow, alias « Alima Suppo », ainsi que trois de ses assistantes et trois commerçants spécialisés dans la vente de boulettes pour fesses, devraient être déférés au parquet ce mercredi 29 janvier. Le journal indique qu’ils sont actuellement en garde à vue au commissariat central de Guédiawaye, arrêtés dans le cadre d’une enquête sur la commercialisation de produits supposés accentuer les formes féminines.
Toutefois, de nombreux témoignages recueillis par L’Observateur rapportent que ces substances ont entraîné des effets dévastateurs, allant de crises cardiaques et d’AVC à des maladies graves, voire des décès soudains.
Alertée par des pharmaciens sur les agissements de vendeurs de suppositoires pour fesses, appelées boulettes, la police a procédé à l'arrestation de sept personnes dont A. Sow, alias Alima Suppo, célèbre sur Tik-Tok, révèle L'Observateur.
D'après la même source, l'opération a nécessité «la mobilisation d'une équipe mixte composée de pharmaciens, d'agents de la brigade de recherches, des corps urbains des commissariats de Pikine et Thiaroye, ainsi que des éléments de la Sûreté urbaine [Su] de Guédiawaye».
L'intervention s'est déroulée au marché Zinc, «épicentre présumé de cette activité illicite», indique le journal. Qui poursuit :
Au Sénégal, l'utilisation de ces produits suscitent de vives inquiétudes chez les médecins. «Nous recevons des femmes pour des gangrènes fessières, nécessitant un débridement au bloc. Nous extrayons du pus et des tissus névrosés à la main. Elles ressortent difformes, ayant perdu 80% de leur volume fessier», s'alarmait l'un d'eux.
Toutefois, de nombreux témoignages recueillis par L’Observateur rapportent que ces substances ont entraîné des effets dévastateurs, allant de crises cardiaques et d’AVC à des maladies graves, voire des décès soudains.
Alertée par des pharmaciens sur les agissements de vendeurs de suppositoires pour fesses, appelées boulettes, la police a procédé à l'arrestation de sept personnes dont A. Sow, alias Alima Suppo, célèbre sur Tik-Tok, révèle L'Observateur.
D'après la même source, l'opération a nécessité «la mobilisation d'une équipe mixte composée de pharmaciens, d'agents de la brigade de recherches, des corps urbains des commissariats de Pikine et Thiaroye, ainsi que des éléments de la Sûreté urbaine [Su] de Guédiawaye».
L'intervention s'est déroulée au marché Zinc, «épicentre présumé de cette activité illicite», indique le journal. Qui poursuit :
Au Sénégal, l'utilisation de ces produits suscitent de vives inquiétudes chez les médecins. «Nous recevons des femmes pour des gangrènes fessières, nécessitant un débridement au bloc. Nous extrayons du pus et des tissus névrosés à la main. Elles ressortent difformes, ayant perdu 80% de leur volume fessier», s'alarmait l'un d'eux.