Le budget du Sénégal pour l’année 2025 est estimé à 6614 milliards de FCFA, avec un déficit de 7 % du PIB, soit environ 1500 milliards de FCFA. La croissance économique est projetée à 8,8 %. Parmi les principaux postes budgétaires, la présidence bénéficie de 49 milliards de FCFA, l’Assemblée nationale de 19 milliards, et la Primature de 11 milliards de FCFA.
Ce budget est inférieur à celui de 2024, qui avait été de 7000 milliards de FCFA. La différence réside dans l'exclusion des charges de trésorerie, c’est-à-dire des montants consacrés au remboursement de la dette. Si l’on compare selon la même présentation que l’année précédente, le budget était alors de 5754 milliards de FCFA.
En 2025, le déficit budgétaire est bien au-dessus du seuil recommandé par l’UEMOA, mais le gouvernement envisage de le réduire à 3 % d'ici 2027. Les recettes fiscales devraient représenter 4359 milliards de FCFA, marquant une hausse de 180 milliards par rapport à l’année précédente, tandis que les dépenses allouées à l’acquisition de biens et services diminuent de 428 à 415 milliards de FCFA.
Les trois institutions principales de la République voient leurs budgets réduits : la présidence, qui passera de 80 à 49 milliards de FCFA, l’Assemblée nationale, de 20 à 19 milliards, et la Primature, de 25 à 11 milliards de FCFA. Enfin, bien que le Conseil économique, social et environnemental apparaisse toujours dans le projet de loi de finances avec une prévision de 7,5 milliards de FCFA, ces fonds seront réalloués après la suppression de cette institution.
Ce budget est inférieur à celui de 2024, qui avait été de 7000 milliards de FCFA. La différence réside dans l'exclusion des charges de trésorerie, c’est-à-dire des montants consacrés au remboursement de la dette. Si l’on compare selon la même présentation que l’année précédente, le budget était alors de 5754 milliards de FCFA.
En 2025, le déficit budgétaire est bien au-dessus du seuil recommandé par l’UEMOA, mais le gouvernement envisage de le réduire à 3 % d'ici 2027. Les recettes fiscales devraient représenter 4359 milliards de FCFA, marquant une hausse de 180 milliards par rapport à l’année précédente, tandis que les dépenses allouées à l’acquisition de biens et services diminuent de 428 à 415 milliards de FCFA.
Les trois institutions principales de la République voient leurs budgets réduits : la présidence, qui passera de 80 à 49 milliards de FCFA, l’Assemblée nationale, de 20 à 19 milliards, et la Primature, de 25 à 11 milliards de FCFA. Enfin, bien que le Conseil économique, social et environnemental apparaisse toujours dans le projet de loi de finances avec une prévision de 7,5 milliards de FCFA, ces fonds seront réalloués après la suppression de cette institution.