Ce mercredi 27 septembre, la Confédération africaine de football (CAF) a désigné le Maroc en tant que pays hôte de la CAN 2025. Au moment de la désignation, le royaume chérifien était le seul candidat en lice.
Sans grande surprise, le Maroc a été désigné pour abriter la 35e édition de la CAN. Le verdict ne faisait plus guère de doute depuis le retrait, la veille, de la candidature de l’Algérie, qui a également fait machine arrière pour 2027. Si les spéculations allaient bon train au sujet d’un possible mécontentement contre un supposé trucage au bénéfice du Maroc, le motif officiel évoqué par les Fennecs était la volonté de se consacrer au développement du football sur son sol. Finalement, ce retrait aurait en réalité un autre objectif : offrir la CAN 2025 au Maroc afin de le mettre dans les meilleures dispositions dans la course à l'organisation de la Coupe du monde 2030, pour laquelle il postule conjointement avec l'Espagne et le Portugal.
La « solidarité » pour justifier les retraits de l’Algérie et des autres candidats
C’est en tout cas ce qu’a sous-entendu le président de la CAF, Patrice Motsepe ce mercredi au Caire, en marge de l’annonce par le Comité exécutif de la CAF des pays organisateurs des CAN 2025 et 2027. En effet, le numéro un du football africain a expliqué que tous les pays initialement candidats pour abriter la 35e édition s’étaient retirés au nom de la « solidarité » avec le Maroc. « Tous les pays qui étaient candidats pour la CAN 2025 ont décidé de se retirer après avoir eu des échanges entre eux. La raison principale de ces retraits, c'est pour le Maroc, qui est le pays africain qui soumet sa candidature pour la Coupe du monde 2030. (…) Il y a non seulement un engagement vis-à-vis du développement du football en Afrique, mais aussi un engagement plus grand que certains qualifient de solidarité », a avancé l’ex-président du club de Mamelodi Sundowns.
De quoi justifier davantage le retrait tardif du duo Nigeria-Bénin, à seulement quelques heures de la désignation, et dévoiler au grand jour le désistement de la Zambie sur le gong, qui était la dernière candidate en course avec le Maroc.
Sans grande surprise, le Maroc a été désigné pour abriter la 35e édition de la CAN. Le verdict ne faisait plus guère de doute depuis le retrait, la veille, de la candidature de l’Algérie, qui a également fait machine arrière pour 2027. Si les spéculations allaient bon train au sujet d’un possible mécontentement contre un supposé trucage au bénéfice du Maroc, le motif officiel évoqué par les Fennecs était la volonté de se consacrer au développement du football sur son sol. Finalement, ce retrait aurait en réalité un autre objectif : offrir la CAN 2025 au Maroc afin de le mettre dans les meilleures dispositions dans la course à l'organisation de la Coupe du monde 2030, pour laquelle il postule conjointement avec l'Espagne et le Portugal.
La « solidarité » pour justifier les retraits de l’Algérie et des autres candidats
C’est en tout cas ce qu’a sous-entendu le président de la CAF, Patrice Motsepe ce mercredi au Caire, en marge de l’annonce par le Comité exécutif de la CAF des pays organisateurs des CAN 2025 et 2027. En effet, le numéro un du football africain a expliqué que tous les pays initialement candidats pour abriter la 35e édition s’étaient retirés au nom de la « solidarité » avec le Maroc. « Tous les pays qui étaient candidats pour la CAN 2025 ont décidé de se retirer après avoir eu des échanges entre eux. La raison principale de ces retraits, c'est pour le Maroc, qui est le pays africain qui soumet sa candidature pour la Coupe du monde 2030. (…) Il y a non seulement un engagement vis-à-vis du développement du football en Afrique, mais aussi un engagement plus grand que certains qualifient de solidarité », a avancé l’ex-président du club de Mamelodi Sundowns.
De quoi justifier davantage le retrait tardif du duo Nigeria-Bénin, à seulement quelques heures de la désignation, et dévoiler au grand jour le désistement de la Zambie sur le gong, qui était la dernière candidate en course avec le Maroc.