La menace terroriste reste une ‘’ préoccupation’’ des Etats membres de la CEDEAO, a indiqué samedi le président Macky Sall, demandant de lever tout amalgame dans la terminologie eu égard à l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest dont se prévaut Boko Haram.
‘’Malgré ces succès, les attaques au nord Mali, à Bamako, à Ouagadougou et à Grand Bassam montrent clairement que la menace terroriste reste une source de préoccupation pour notre sous-région’’, a-t-il dit à l’ouverture de la 49e session ordinaire de la CEDEAO.
Le président Sall a demandé aux pays membres de la CEDEAO de faire face au terrorisme en associant tous leurs moyens, dans ‘’une perspective globale à long terme’’.
’Il nous faut en même temps lever tout amalgame dans la terminologie : il n’y a aucun Etat islamique en Afrique de l’Ouest correspondant aux visées terroristes de ’Boko haram. Boko haram reste Boko Haram. Et l’islam n’a rien à voir avec le terrorisme et sa folie meurtrière’’, a insisté le président Sall.
Macky Sall a salué les progrès significatifs réalisés par le Nigeria dans la lutte contre le groupe terroriste Boko Haram, grâce à la détermination de son président Muhammadu Buhari.
‘’A lui et à tous les collègues engagés dans le combat quotidien contre le terrorisme, je renouvelle notre solidarité et notre soutien’’, a-t-il ajouté.
Les travaux de la 49e session ordinaire de la CEDEAO ont débuté à l’hôtel King Fahd Palace de Dakar en milieu de matinée.
Tous les chefs d’Etat de la CEDEAO, à l’exception de la Gambie, de la Guinée Bissau, du Nigeria et du Togo, sont présents à Dakar pour la 49e session ordinaire de cette organisation, qui s’est ouvert ce samedi dans la capitale sénégalaise.
La Gambie, dont les relations avec le Sénégal sont marquées par une brouille depuis le blocus de la Transgambienne, à la suite d’une hausse exorbitante et unilatérale des tarifs de la traversée du bac de Farafégné, s’est fait représenter par son ministre du Commerce, Abdulie Job.
Côté Nigerian, c’est le vice-président qui a fait le déplacement, alors que la Guinée Bissau a envoyé son Premier ministre Baciro Dja.
APS
‘’Malgré ces succès, les attaques au nord Mali, à Bamako, à Ouagadougou et à Grand Bassam montrent clairement que la menace terroriste reste une source de préoccupation pour notre sous-région’’, a-t-il dit à l’ouverture de la 49e session ordinaire de la CEDEAO.
Le président Sall a demandé aux pays membres de la CEDEAO de faire face au terrorisme en associant tous leurs moyens, dans ‘’une perspective globale à long terme’’.
’Il nous faut en même temps lever tout amalgame dans la terminologie : il n’y a aucun Etat islamique en Afrique de l’Ouest correspondant aux visées terroristes de ’Boko haram. Boko haram reste Boko Haram. Et l’islam n’a rien à voir avec le terrorisme et sa folie meurtrière’’, a insisté le président Sall.
Macky Sall a salué les progrès significatifs réalisés par le Nigeria dans la lutte contre le groupe terroriste Boko Haram, grâce à la détermination de son président Muhammadu Buhari.
‘’A lui et à tous les collègues engagés dans le combat quotidien contre le terrorisme, je renouvelle notre solidarité et notre soutien’’, a-t-il ajouté.
Les travaux de la 49e session ordinaire de la CEDEAO ont débuté à l’hôtel King Fahd Palace de Dakar en milieu de matinée.
Tous les chefs d’Etat de la CEDEAO, à l’exception de la Gambie, de la Guinée Bissau, du Nigeria et du Togo, sont présents à Dakar pour la 49e session ordinaire de cette organisation, qui s’est ouvert ce samedi dans la capitale sénégalaise.
La Gambie, dont les relations avec le Sénégal sont marquées par une brouille depuis le blocus de la Transgambienne, à la suite d’une hausse exorbitante et unilatérale des tarifs de la traversée du bac de Farafégné, s’est fait représenter par son ministre du Commerce, Abdulie Job.
Côté Nigerian, c’est le vice-président qui a fait le déplacement, alors que la Guinée Bissau a envoyé son Premier ministre Baciro Dja.
APS