A la tête de l’un des pays les plus sécurisés et les plus sûrs au monde, selon le sondage de «Gallup », le Général Ahmed Nasser Al Raisi ambitionne de diriger la police internationale (Interpol) avec un programme ambitieux pour l’Afrique continent touché par la criminalité organisée sous toutes ses formes. Les pays africains trouveront en ce général, l’interlocuteur idéal pour lutter contre la criminalité qui impacte négativement son développement et freine la mise en œuvre des politiques publiques.
La communauté internationale s’apprête à la tenue de la 89e session de l’Assemblée générale de l’organisation internationale de Police criminelle (INTERPOL) au terme de laquelle sera élu le prochain président de l’Institution. Elle est prévue en octobre 2021 à Istanbul. Ainsi, les Emirats arabes unis, pays de référence en matière de protection des droits humains, de promotion des libertés et de sécurité inscrites dans la vision stratégique des Autorités, présentant un candidat à cette élection, ont du coup, ériger «entre autres, la lutte contre la criminalité transfrontalière organisée, le terrorisme et l’extrémisme, le trafic illicite de stupéfiants, la cybercriminalité, le trafic illicite des armes, au rang de priorité majeure ». Ces gangrènes affectent l’économie de tout le continent africain, ralentissent son développement et influencent négativement son environnement des affaires.
Par la même occasion, il faut insister à dire que ce fléau qu’est la criminalité organisée n’épargne aucun pays au monde. Voilà pourquoi, les Emirats Arabes Unis «demeurent convaincus que la seule voie d’y remédier est de renforcer les moyens d’action d’INTERPOL particulièrement en Afrique, de la rendre plus efficiente à travers l’instauration de mécanismes de coopération avec AFRIPOL avec l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan quinquennal stratégique de travail (2022-2026) ».
C’est la première fois, dans l’histoire de l’Interpol qu’un candidat à la présidence propose à l’Afrique un Plan quinquennal stratégique de travail sur une période de 04 ans. Les pays africains devront s’approprier ce plan afin de mieux faire face aux menaces sécuritaires. Par ailleurs, il a été proposé au continent dans la vision du candidat des Emirats Arabes Unis, le renforcement des quatre (04) bureaux régionaux d’INTERPOL en Afrique et l’exécution «avec diligence » du «plan stratégique pour l’Afrique conçu par INTERPOL».
En plus, dans cette même vision stratégique, il est mis en relief, l’importance «de renforcer l’échange d’informations à travers les 18 data bases d’INTERPOL pour rendre encore plus efficiente », la lutte «commune contre ces phénomènes criminels qui déstabilisent nos sociétés ».
Sur le plan purement technique, le candidat des EAU ambitionne de «moderniser les équipements des bureaux centraux nationaux d’INTERPOL en Afrique en sus de la mise en œuvre du programme INTERPOL WPAIS qui vise un meilleur partage d’informations entre les bureaux centraux nationaux en Afrique ».
Ayant un souci majeur de réduire la criminalité dans le monde surtout en Afrique, continent fortement touché et s’appuyant sur une vision stratégique claire aux objectifs réalisables, les Emirats arabes unis ont décidé de présenter la candidature du Général Ahmed Nasser Al Raisi, à la présidence d’INTERPOL, lors des prochaines élections, prévues à Istanbul.
Il s’agit d’un homme au parcours riche doté de qualités morales et intellectuelles reconnues qui font les signes particuliers de ce Général. Homme rigoureux et pragmatique dans l’action, le Général Al Raisi est un personnage de caractère forgé au prix d’une carrière nationale et internationale grandement menée. C’est une Lapalissade que de dire que s’il est élu, il s’attachera avec soin à sa mission dont le succès est tributaire de la confiance de toute la communauté internationale, au bénéfice de tous les Etats membres d’INTERPOL.
Michel DIOUF
La communauté internationale s’apprête à la tenue de la 89e session de l’Assemblée générale de l’organisation internationale de Police criminelle (INTERPOL) au terme de laquelle sera élu le prochain président de l’Institution. Elle est prévue en octobre 2021 à Istanbul. Ainsi, les Emirats arabes unis, pays de référence en matière de protection des droits humains, de promotion des libertés et de sécurité inscrites dans la vision stratégique des Autorités, présentant un candidat à cette élection, ont du coup, ériger «entre autres, la lutte contre la criminalité transfrontalière organisée, le terrorisme et l’extrémisme, le trafic illicite de stupéfiants, la cybercriminalité, le trafic illicite des armes, au rang de priorité majeure ». Ces gangrènes affectent l’économie de tout le continent africain, ralentissent son développement et influencent négativement son environnement des affaires.
Par la même occasion, il faut insister à dire que ce fléau qu’est la criminalité organisée n’épargne aucun pays au monde. Voilà pourquoi, les Emirats Arabes Unis «demeurent convaincus que la seule voie d’y remédier est de renforcer les moyens d’action d’INTERPOL particulièrement en Afrique, de la rendre plus efficiente à travers l’instauration de mécanismes de coopération avec AFRIPOL avec l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan quinquennal stratégique de travail (2022-2026) ».
C’est la première fois, dans l’histoire de l’Interpol qu’un candidat à la présidence propose à l’Afrique un Plan quinquennal stratégique de travail sur une période de 04 ans. Les pays africains devront s’approprier ce plan afin de mieux faire face aux menaces sécuritaires. Par ailleurs, il a été proposé au continent dans la vision du candidat des Emirats Arabes Unis, le renforcement des quatre (04) bureaux régionaux d’INTERPOL en Afrique et l’exécution «avec diligence » du «plan stratégique pour l’Afrique conçu par INTERPOL».
En plus, dans cette même vision stratégique, il est mis en relief, l’importance «de renforcer l’échange d’informations à travers les 18 data bases d’INTERPOL pour rendre encore plus efficiente », la lutte «commune contre ces phénomènes criminels qui déstabilisent nos sociétés ».
Sur le plan purement technique, le candidat des EAU ambitionne de «moderniser les équipements des bureaux centraux nationaux d’INTERPOL en Afrique en sus de la mise en œuvre du programme INTERPOL WPAIS qui vise un meilleur partage d’informations entre les bureaux centraux nationaux en Afrique ».
Ayant un souci majeur de réduire la criminalité dans le monde surtout en Afrique, continent fortement touché et s’appuyant sur une vision stratégique claire aux objectifs réalisables, les Emirats arabes unis ont décidé de présenter la candidature du Général Ahmed Nasser Al Raisi, à la présidence d’INTERPOL, lors des prochaines élections, prévues à Istanbul.
Il s’agit d’un homme au parcours riche doté de qualités morales et intellectuelles reconnues qui font les signes particuliers de ce Général. Homme rigoureux et pragmatique dans l’action, le Général Al Raisi est un personnage de caractère forgé au prix d’une carrière nationale et internationale grandement menée. C’est une Lapalissade que de dire que s’il est élu, il s’attachera avec soin à sa mission dont le succès est tributaire de la confiance de toute la communauté internationale, au bénéfice de tous les Etats membres d’INTERPOL.
Michel DIOUF