Au-delà de la musique dans la quelle il s’active, Ksi Apakéna se définit comme un combattant de la paix et de la concorde. D’où l'initiative qu’il a dévoilée au cours d’une conférence de presse qu’il a tenue ce jour pour clamer et déclamer rien que pour le retour à la paix dans la région naturelle de la Casamance.
Pour mieux plaider la bonne parole, l’artiste a choisi ce qu’il sait faire de mieux en usant du slam. Une manière pour lui de décliner la beauté des mots pour combattre les maux dont souffre la région sud du Sénégal.
Ainsi se plait-il de répéter que «s’abstenir serait mettre notre destin en conflit et en crise, mais s’engager serait mettre fin à ce conflit et à cette crise pour le bonheur d’un peuple victime, otage, prisonnier de l’un des conflits les plus vieux de l’Afrique ».
Ainsi à travers des séries de conférences et de concerts, Ksi Apakéna entend plaider surtout autour de l’axe central qu’il s’est fixé : « Le peuple acteur et victime dans un conflit ». Considérant le conflit casamançais comme un «grand gâchis », le slameur entend ainsi impliquer toutes les couches de la population du sud dans sa campagne.
C’est dans cadre qu’il se fera accompagner durant cette tournée, nous explique-t-il, par l’association des femmes de Kabonkétoor, l’Abbé Camille Gomis, ainsi que les différentes paroisses locales.
Pour mieux plaider la bonne parole, l’artiste a choisi ce qu’il sait faire de mieux en usant du slam. Une manière pour lui de décliner la beauté des mots pour combattre les maux dont souffre la région sud du Sénégal.
Ainsi se plait-il de répéter que «s’abstenir serait mettre notre destin en conflit et en crise, mais s’engager serait mettre fin à ce conflit et à cette crise pour le bonheur d’un peuple victime, otage, prisonnier de l’un des conflits les plus vieux de l’Afrique ».
Ainsi à travers des séries de conférences et de concerts, Ksi Apakéna entend plaider surtout autour de l’axe central qu’il s’est fixé : « Le peuple acteur et victime dans un conflit ». Considérant le conflit casamançais comme un «grand gâchis », le slameur entend ainsi impliquer toutes les couches de la population du sud dans sa campagne.
C’est dans cadre qu’il se fera accompagner durant cette tournée, nous explique-t-il, par l’association des femmes de Kabonkétoor, l’Abbé Camille Gomis, ainsi que les différentes paroisses locales.