La Casamance est une région gâtée par la nature. Elle est marquée de tout bord par une nature on ne peut plus généreuse. Le fort potentiel dont elle regorge (une forte végétation, une pluie abondante, un sol aux richesses débordantes, une relation harmonieuse entre homme et nature, etc.) suffit pour qu’elle soit érigée en terreau fertile des pépinières pour peindre en vert toutes les régions du Sénégal.
En effet, communément appelée « Casamance naturelle » ou encore « Casa di mansa », la région sud reçoit à chaque hivernage d’importantes quantités de pluies sur des terres très fécondes, suffisamment pour servir de grenier pouvant alimenter toute l’étendue du pays en arbres et en nourriture.
Seulement des bras venus d’on ne sait où agresse cette nature généreuse laissant derrière une situation qui au fil du temps et si rien n’est fait contre, promet un paysage désertique sur zone dont le charme est avant tout de grands arbres qui fleurettent avec le ciel, un vert à perte de vue. Pourtant, le besoin se ne manque pas dans les autres régions Sénégal. Le constat est, à la limite même, douloureux voir même blessant au nord du pays.
Un simple voyage du regard sur le paysage des régions de Louga, Kaolack, Fatick, Dakar, et j’en passe, nous expose à un environnement désertique, sévère et brûlant. L’adoption d’une politique environnementale claire et cohérente de la part de l’Etat est plus que jamais urgente afin de panser voire même sauver un environnement agonisant à force de subir les coups de l’inconscience des hommes et les effets d’un réchauffement climatique de plus en plus inquiétant. L’urgence appelle également la jonction de toutes les forces de la Casamance comme des autres régions du Sénégal à œuvrer pour un « Sénégal vert » avec la région de Casamance comme sève nourricière de cette muraille.
C’est cette dynamique que Casamance Ecologie entend propulser à travers son programme Ulukaal afin d’inspirer les jeunes générations et promouvoir un esprit environnemental.
Par Casamance Ecologie
En effet, communément appelée « Casamance naturelle » ou encore « Casa di mansa », la région sud reçoit à chaque hivernage d’importantes quantités de pluies sur des terres très fécondes, suffisamment pour servir de grenier pouvant alimenter toute l’étendue du pays en arbres et en nourriture.
Seulement des bras venus d’on ne sait où agresse cette nature généreuse laissant derrière une situation qui au fil du temps et si rien n’est fait contre, promet un paysage désertique sur zone dont le charme est avant tout de grands arbres qui fleurettent avec le ciel, un vert à perte de vue. Pourtant, le besoin se ne manque pas dans les autres régions Sénégal. Le constat est, à la limite même, douloureux voir même blessant au nord du pays.
Un simple voyage du regard sur le paysage des régions de Louga, Kaolack, Fatick, Dakar, et j’en passe, nous expose à un environnement désertique, sévère et brûlant. L’adoption d’une politique environnementale claire et cohérente de la part de l’Etat est plus que jamais urgente afin de panser voire même sauver un environnement agonisant à force de subir les coups de l’inconscience des hommes et les effets d’un réchauffement climatique de plus en plus inquiétant. L’urgence appelle également la jonction de toutes les forces de la Casamance comme des autres régions du Sénégal à œuvrer pour un « Sénégal vert » avec la région de Casamance comme sève nourricière de cette muraille.
C’est cette dynamique que Casamance Ecologie entend propulser à travers son programme Ulukaal afin d’inspirer les jeunes générations et promouvoir un esprit environnemental.
Par Casamance Ecologie