L'avion transportant les champions du monde argentins, qui ont conquis dimanche au Qatar une troisième étoile, a atterri mardi dans la nuit à l'aéroport international de Buenos Aires.
En ce mardi 20 décembre, l'ambiance est brûlante et pas seulement parce que c'est l'été en Argentine et que le mercure épouse les 30 °C. Pour le retour de leurs héros, champions du monde, les supporters de l'Albiceleste ont investi les moindres recoins de Buenos Aires. L'avenue du 9 juillet, longue de 3 km, et son fameux obélisque, où les coéquipiers de Leo Messi sont attendus, est parée de ciel et blanc.
Les champions du monde, arriveront-ils à l'Obélisque ?
On ne sait même plus vraiment si les joueurs vont arriver ici pour le défilé, le bus à Impériale blanc qui transporte l'Albiceleste est pour l’instant bloqué sur l’autoroute qui est censé les mener jusqu’au centre-ville. On peut d'ailleurs y apercevoir des supporters accrochés aux panneaux de signalisation ou encore aux barrières. Le service de sécurité est un peu pris de court, les hélicoptères de la police sont en train de réfléchir à des plans B pour savoir où le bus va pouvoir réussir à passer. Une option les dirigerait directement vers le palais présidentiel devant la place de Mai, tout va se décider minute par minute.
L'Airbus A330 de la compagnie Aerolinas Argentinas, qui portait l'inscription « une équipe, un pays, un rêve » et sur son aile arrière figuraient les dessins de Messi ou Angel di Maria, l'autre héros de la finale, auteur du deuxième but contre la France, était arrivé un peu plus tôt dans la journée. Lionel Messi, le capitaine et emblème du succès argentin au Qatar, a été le premier à apparaître en haut de l'escalier d'embarquement, brandissant le trophée doré de la Coupe du monde, pour gagner le tapis rouge déployé sur le tarmac de l'aéroport d'affaire d'Ezeiza.
En ce mardi 20 décembre, l'ambiance est brûlante et pas seulement parce que c'est l'été en Argentine et que le mercure épouse les 30 °C. Pour le retour de leurs héros, champions du monde, les supporters de l'Albiceleste ont investi les moindres recoins de Buenos Aires. L'avenue du 9 juillet, longue de 3 km, et son fameux obélisque, où les coéquipiers de Leo Messi sont attendus, est parée de ciel et blanc.
Les champions du monde, arriveront-ils à l'Obélisque ?
On ne sait même plus vraiment si les joueurs vont arriver ici pour le défilé, le bus à Impériale blanc qui transporte l'Albiceleste est pour l’instant bloqué sur l’autoroute qui est censé les mener jusqu’au centre-ville. On peut d'ailleurs y apercevoir des supporters accrochés aux panneaux de signalisation ou encore aux barrières. Le service de sécurité est un peu pris de court, les hélicoptères de la police sont en train de réfléchir à des plans B pour savoir où le bus va pouvoir réussir à passer. Une option les dirigerait directement vers le palais présidentiel devant la place de Mai, tout va se décider minute par minute.
L'Airbus A330 de la compagnie Aerolinas Argentinas, qui portait l'inscription « une équipe, un pays, un rêve » et sur son aile arrière figuraient les dessins de Messi ou Angel di Maria, l'autre héros de la finale, auteur du deuxième but contre la France, était arrivé un peu plus tôt dans la journée. Lionel Messi, le capitaine et emblème du succès argentin au Qatar, a été le premier à apparaître en haut de l'escalier d'embarquement, brandissant le trophée doré de la Coupe du monde, pour gagner le tapis rouge déployé sur le tarmac de l'aéroport d'affaire d'Ezeiza.