Vingt-quatre heures après avoir demandé la disqualification de la France de la Coupe du monde U17 qui se tient actuellement en Indonésie, le Sénégal a décidé de retirer sa réclamation.
Jeudi 23 novembre, au lendemain du dépôt de son recours contre la France pour l’alignement de Yanis Issoufou, alors que ce dernier avait déjà joué pour le Niger dans le cadre du tournoi UFOA B qualificatif à la CAN U17, et partant au Mondial U17, la Fédération sénégalaise de football (FSF) a fait machine arrière. Comme pour le Burkina Faso qui a dénoncé en premier les manquements de la Fédération française de football (FFF), la FIFA a en effet invalidé la plainte au motif que celle-ci n’a pas été formulée cinq jours avant le début du tournoi tel que disposé par l'article 9.3 du Règlement de la Compétition.
Un article « impertinent » selon le Sénégal
Une décision suscitant l’incompréhension de la FSF, qui perçoit la décision de l’instance mondiale de ne pas sanctionner. « Nous précisions que l'article 9.3 du Règlement de la Compétition est impertinent, car, comment une équipe peut faire une réclamation cinq jours avant une compétition sur une fraude qu'elle ignore et qui n'est établie d'ailleurs qu'à partir du moment où le joueur a effectivement participé à un match de ladite compétition et pas avant ? Le fait de retirer le joueur pour les matches suivant l'infraction aux règlements ne change rien à la donne car la violation est déjà actée. (…) Les éléments relatés dans votre courriel laissent au contraire entrevoir le sens de la décision qui est de ne pas sanctionner. Au regard de tout cela, la FSF décide de renoncer à sa saisine ce jour et demande à la FIFA de lui en donner acte », peut-on lire dans une correspondance adressée au Directeur de la Coupe du monde U17.
Ayant précédemment été rassurée par la FIFA, la France peut sereinement se préparer pour le quart de finale contre l’Ouzbékistan samedi. Les Bleuets ont pour rappel écarté les Lionceaux d'Amara Diouf au tour précédent à l'issue des tirs aux buts (5-3) après avoir tenu bon pendant 90 minutes (0-0).
Afrik-Foot (@afrikfoot)
Jeudi 23 novembre, au lendemain du dépôt de son recours contre la France pour l’alignement de Yanis Issoufou, alors que ce dernier avait déjà joué pour le Niger dans le cadre du tournoi UFOA B qualificatif à la CAN U17, et partant au Mondial U17, la Fédération sénégalaise de football (FSF) a fait machine arrière. Comme pour le Burkina Faso qui a dénoncé en premier les manquements de la Fédération française de football (FFF), la FIFA a en effet invalidé la plainte au motif que celle-ci n’a pas été formulée cinq jours avant le début du tournoi tel que disposé par l'article 9.3 du Règlement de la Compétition.
Un article « impertinent » selon le Sénégal
Une décision suscitant l’incompréhension de la FSF, qui perçoit la décision de l’instance mondiale de ne pas sanctionner. « Nous précisions que l'article 9.3 du Règlement de la Compétition est impertinent, car, comment une équipe peut faire une réclamation cinq jours avant une compétition sur une fraude qu'elle ignore et qui n'est établie d'ailleurs qu'à partir du moment où le joueur a effectivement participé à un match de ladite compétition et pas avant ? Le fait de retirer le joueur pour les matches suivant l'infraction aux règlements ne change rien à la donne car la violation est déjà actée. (…) Les éléments relatés dans votre courriel laissent au contraire entrevoir le sens de la décision qui est de ne pas sanctionner. Au regard de tout cela, la FSF décide de renoncer à sa saisine ce jour et demande à la FIFA de lui en donner acte », peut-on lire dans une correspondance adressée au Directeur de la Coupe du monde U17.
Ayant précédemment été rassurée par la FIFA, la France peut sereinement se préparer pour le quart de finale contre l’Ouzbékistan samedi. Les Bleuets ont pour rappel écarté les Lionceaux d'Amara Diouf au tour précédent à l'issue des tirs aux buts (5-3) après avoir tenu bon pendant 90 minutes (0-0).
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