Les travailleurs de Dakar Dem Dik réclament un demi-milliard de francs à l’ex-directeur général de la société qu’ils accusent de n’avoir pas reversé l’argent des cotisations de l’institut prévoyance maladie (IPM). Dame Diop clame son innocence et demande le même montant en réparation, pour procédure abusive.
Les syndicalistes de Dakar Dem Dik ont attrait devant le juge correctionnel l’ex-directeur de la société qu’ils accusent d’avoir détourné leurs cotisations sociales à l‘Institut de prévoyance maladie (IPM). Selon les plaignants, la cotisation de l’Ipm leur a toujours été défalquée, alors qu’elle n’a jamais été reversée. Dame Diop qui a comparu aujourd’hui, a nié les faits, soutenant que cela ne s’est pas effectué dans sa gestion. A en croire l’ex-directeur général des 3D, il a trouvé à son arrivée, en 2012, un passif de 423 millions de francs. Et à son départ en 2014, il a laissé un encours de 345 millions de francs.
Peu importe, pour Me Bidjely Fall qui assurait les intérêts des travailleurs, Dame Diop, en sa qualité de directeur général est responsable aussi bien du passif que de l’actif. Il a réclamé 500 millions de francs. Cependant, selon Mes Oumar Tandian et Bamba Cissé, qui défendaient l’ex-boss de DDD, les travailleurs ont enclenché cette procédure pour détruire leur client. Car, ce dernier avait pris des mesures pour redresser l’entreprise, notamment la suppression des heures supplémentaires, le licenciement d’agents ayant atteint l’âge de la retraite, etc. Ils ont ainsi demandé la relaxe pure et simple de leur client.
Par ailleurs, les avocats de la défense estiment qu’il y a une procédure abusive contre leur client et réclament un demi-milliard de francs. Le juge tranchera cette affaire le 12 juillet prochain.
Les syndicalistes de Dakar Dem Dik ont attrait devant le juge correctionnel l’ex-directeur de la société qu’ils accusent d’avoir détourné leurs cotisations sociales à l‘Institut de prévoyance maladie (IPM). Selon les plaignants, la cotisation de l’Ipm leur a toujours été défalquée, alors qu’elle n’a jamais été reversée. Dame Diop qui a comparu aujourd’hui, a nié les faits, soutenant que cela ne s’est pas effectué dans sa gestion. A en croire l’ex-directeur général des 3D, il a trouvé à son arrivée, en 2012, un passif de 423 millions de francs. Et à son départ en 2014, il a laissé un encours de 345 millions de francs.
Peu importe, pour Me Bidjely Fall qui assurait les intérêts des travailleurs, Dame Diop, en sa qualité de directeur général est responsable aussi bien du passif que de l’actif. Il a réclamé 500 millions de francs. Cependant, selon Mes Oumar Tandian et Bamba Cissé, qui défendaient l’ex-boss de DDD, les travailleurs ont enclenché cette procédure pour détruire leur client. Car, ce dernier avait pris des mesures pour redresser l’entreprise, notamment la suppression des heures supplémentaires, le licenciement d’agents ayant atteint l’âge de la retraite, etc. Ils ont ainsi demandé la relaxe pure et simple de leur client.
Par ailleurs, les avocats de la défense estiment qu’il y a une procédure abusive contre leur client et réclament un demi-milliard de francs. Le juge tranchera cette affaire le 12 juillet prochain.