C’est Me Kabou qui révèle ces informations sur sa page Facebook. Selon lui, François Mancabou, ancien garde du corps arrêté en juin 2022 dans un contexte de tensions politiques préélectorales et décédé en juillet 2022 alors qu’il était en détention dans un hôpital, avait été suivi de près par un proche d’un responsable de l’ancien régime quelques jours avant son arrestation.
« Dans l’affaire François Mancabou, quelqu’un de très proche d’un homme politique l’a pisté des jours avant son arrestation. Cette même personne a ensuite annoncé son décès à ses proches, se faisant d’abord passer pour un infirmier, puis pour un ambulancier de l’hôpital principal », a déclaré Me Kabou.
Il poursuit : « Nous avons réussi à remonter les appels jusqu’à identifier le numéro de téléphone de cette personne. Une plainte a été déposée auprès de la section cybercriminalité. Des proches ont été entendus, mais jusqu’à présent, rien n’a avancé. Concernant les allégations sur une vidéo, je tiens à préciser que François Mancabou a été très clair dans ses descriptions des faits, même jusqu’à son lit d’hôpital. On ne joue pas avec la vie des gens. La vie humaine est sacrée. »
« Dans l’affaire François Mancabou, quelqu’un de très proche d’un homme politique l’a pisté des jours avant son arrestation. Cette même personne a ensuite annoncé son décès à ses proches, se faisant d’abord passer pour un infirmier, puis pour un ambulancier de l’hôpital principal », a déclaré Me Kabou.
Il poursuit : « Nous avons réussi à remonter les appels jusqu’à identifier le numéro de téléphone de cette personne. Une plainte a été déposée auprès de la section cybercriminalité. Des proches ont été entendus, mais jusqu’à présent, rien n’a avancé. Concernant les allégations sur une vidéo, je tiens à préciser que François Mancabou a été très clair dans ses descriptions des faits, même jusqu’à son lit d’hôpital. On ne joue pas avec la vie des gens. La vie humaine est sacrée. »