Cheikh Gadiaga, ancien proche de l'ex-ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba, a fait des révélations sur le plateau de "Balance" sur Walf TV. Selon lui, l’ouverture d’une enquête par le Procureur pour éclaircir les circonstances de la mort de Moustapha Ba est une décision bienvenue.
"Je salue l’initiative du Procureur," a-t-il déclaré. "Moustapha Ba a été retrouvé à la morgue en France, alors que ses effets personnels étaient toujours à son hôtel. Personne n'a vu le certificat de genre de mort, qui aurait été rédigé par les autorités françaises. Aucune pièce officielle ne confirme la cause naturelle de son décès," a poursuivi Cheikh Gadiaga.
Évoquant plusieurs anomalies dans les circonstances du décès, il a laissé entendre que cette mort pourrait ne pas être d’origine naturelle. À la question du journaliste sur un possible assassinat, Gadiaga a répondu sans hésiter : "Oui, bien sûr !" avant d'ajouter : "Moustapha Ba n'était pas un homme ordinaire. Lorsqu'il était en fonction, des individus très influents ont tenté de lui nuire."
Selon Gadiaga, le décès ne serait pas survenu le 4 novembre, comme annoncé, mais bien avant. Il doute même de l’authenticité d’un message envoyé aux proches de Moustapha Ba, affirmant que "toutes les personnes qui connaissaient bien Moustapha Ba savent qu'il n’a pas rédigé ce message. Le texte était rempli de fautes, ce qui ne correspondait pas à son style."
Il a également appuyé la convocation de l’épouse de Moustapha Ba, qu’il considère comme le suspect principal. "Vous verrez, il y aura des arrestations dans cette affaire, et toutes les personnes impliquées seront poursuivies," a conclu Cheikh Gadiaga.
seneweb
"Je salue l’initiative du Procureur," a-t-il déclaré. "Moustapha Ba a été retrouvé à la morgue en France, alors que ses effets personnels étaient toujours à son hôtel. Personne n'a vu le certificat de genre de mort, qui aurait été rédigé par les autorités françaises. Aucune pièce officielle ne confirme la cause naturelle de son décès," a poursuivi Cheikh Gadiaga.
Évoquant plusieurs anomalies dans les circonstances du décès, il a laissé entendre que cette mort pourrait ne pas être d’origine naturelle. À la question du journaliste sur un possible assassinat, Gadiaga a répondu sans hésiter : "Oui, bien sûr !" avant d'ajouter : "Moustapha Ba n'était pas un homme ordinaire. Lorsqu'il était en fonction, des individus très influents ont tenté de lui nuire."
Selon Gadiaga, le décès ne serait pas survenu le 4 novembre, comme annoncé, mais bien avant. Il doute même de l’authenticité d’un message envoyé aux proches de Moustapha Ba, affirmant que "toutes les personnes qui connaissaient bien Moustapha Ba savent qu'il n’a pas rédigé ce message. Le texte était rempli de fautes, ce qui ne correspondait pas à son style."
Il a également appuyé la convocation de l’épouse de Moustapha Ba, qu’il considère comme le suspect principal. "Vous verrez, il y aura des arrestations dans cette affaire, et toutes les personnes impliquées seront poursuivies," a conclu Cheikh Gadiaga.
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