Quelques minutes après le début de la conférence de presse de Barthélémy Dias dans la grande salle de la mairie de Dakar, des policiers ont fait irruption pour demander l’interruption de l’événement. La confusion a régné dans la salle pendant plusieurs minutes avant que les forces de l’ordre ne prennent le contrôle du bâtiment.
Indigné, Barthélémy Dias a accusé Ousmane Sonko d’être à l’origine de cette intervention musclée. "Quand on parle du Sénégal, c’est parce qu’il y a une République et un État de droit. Ce que la police a fait, c’est de la provocation, et cela ne passera pas. Tout cela est fait pour satisfaire un individu (Ousmane Sonko). Il n’est pas Président de la République, mais il se comporte comme un chef d’État. Nous sommes dans une dictature qui ne dit pas son nom. Le Sénégal est en train de basculer dans une situation compliquée, et les Sénégalais ne toléreront pas cette dérive."
Le maire destitué a poursuivi en dénonçant ce qu’il considère comme une brutalisation du peuple : "Nous ne sommes pas un peuple de poltrons, mais des citoyens responsables. Tout pouvoir qui brutalise le peuple sera confronté à la justice divine."
S’adressant au Premier ministre, Barthélémy Dias a ajouté : "Il se prend pour un Président de la République. Hier, dans l’opposition, il prônait le Gatsa Gatsa, et aujourd’hui, il continue dans la même veine."
Indigné, Barthélémy Dias a accusé Ousmane Sonko d’être à l’origine de cette intervention musclée. "Quand on parle du Sénégal, c’est parce qu’il y a une République et un État de droit. Ce que la police a fait, c’est de la provocation, et cela ne passera pas. Tout cela est fait pour satisfaire un individu (Ousmane Sonko). Il n’est pas Président de la République, mais il se comporte comme un chef d’État. Nous sommes dans une dictature qui ne dit pas son nom. Le Sénégal est en train de basculer dans une situation compliquée, et les Sénégalais ne toléreront pas cette dérive."
Le maire destitué a poursuivi en dénonçant ce qu’il considère comme une brutalisation du peuple : "Nous ne sommes pas un peuple de poltrons, mais des citoyens responsables. Tout pouvoir qui brutalise le peuple sera confronté à la justice divine."
S’adressant au Premier ministre, Barthélémy Dias a ajouté : "Il se prend pour un Président de la République. Hier, dans l’opposition, il prônait le Gatsa Gatsa, et aujourd’hui, il continue dans la même veine."