L’Amicale des cadres de la Sonatel (ACSON), et l’Amicale des femmes (AFSON) ont démonté, hier, les allégations du Directeur général de l’ARTP qui accuse la boite de frauder sur des appels vocaux. Les deux structures crient au scandale et font des révélations sur les agissements « mesquins » du gendarme des télécommunications. Pour rappel, ce dernier avait condamné l’entreprise de téléphonie à hauteur de 13 milliards F Cfa.
Pour le président de l’Amicale des cadres de la Sonatel (ACSON), Demba Diarra Mbodji, contrairement à ce que dit le patron de l’ARTP, « à ce jour, Sonatel est conformé par rapport aux dispositions du décret N0 2014-770 précisant certaines obligations des opérations quand au droit à l’information des consommateurs. Le retrait du SVI (serveur interactif) : effectif ; la gratuité des appels vers le 1441 : effectif ; la gratuité des appels dirigés vers le 1413 : effectif ; la continuité du service 24 heures : effectif. C’est 4 points évoqués constituent le fondement sur lequel l’ARTP s’est basée pour infliger la sanction à Sonatel. Dès lors que Sonatel s’est conformé, nous ne comprenons plus l’objet d’une sanction de 13 959.000.000 F CFA dénuée de fondement », a-t-il révélé au cours d’une conférence de presse rapporte exclusif.net.
Le président de l’Amicale des cadres a révélé, dans la foulée, que Sonatel, à cause des agissements de l’ARTP, « a été obligé de procéder à des réorganisations techniques et humaines (traitement des appels par les plateaux, renégociation des contrats avec les centres d’appels, etc.) avec comme objectif de minimiser l’impact sur le service fourni aux clients. Par ailleurs, il nous a été reproché de ne pas avoir répondu aux différentes correspondances de l’ARTP. Nous dénonçons ces allégations fallacieuses qui cherchent à ternir encore plus l’image de Sonatel que l’on essaye de mettre à mal vis-à-vis de nos clients, des autorités et de l’opinion publique ».
M. Mbodji confirme que Sonatel a répondu systématiquement à tous les courriers reçus et a régulièrement tenu des réunions d’informations avec l’ARTP entre 2014 et 2015. « Par contre, il est important de signaler que l’ARTP n’a pas dégainé répondre à tous nos courriers argumentés. Pour PCCI : 1, 450 milliard en 2014 à 3,051 milliards en 2016. Waye 2 call : 214 millions en 214 à 1, 300 milliard en 2016. En plus, 1000 emplois ont été crées via les prestataires externes des centres d’appels) », ajoute-t-il.
Exclusif.net
Pour le président de l’Amicale des cadres de la Sonatel (ACSON), Demba Diarra Mbodji, contrairement à ce que dit le patron de l’ARTP, « à ce jour, Sonatel est conformé par rapport aux dispositions du décret N0 2014-770 précisant certaines obligations des opérations quand au droit à l’information des consommateurs. Le retrait du SVI (serveur interactif) : effectif ; la gratuité des appels vers le 1441 : effectif ; la gratuité des appels dirigés vers le 1413 : effectif ; la continuité du service 24 heures : effectif. C’est 4 points évoqués constituent le fondement sur lequel l’ARTP s’est basée pour infliger la sanction à Sonatel. Dès lors que Sonatel s’est conformé, nous ne comprenons plus l’objet d’une sanction de 13 959.000.000 F CFA dénuée de fondement », a-t-il révélé au cours d’une conférence de presse rapporte exclusif.net.
Le président de l’Amicale des cadres a révélé, dans la foulée, que Sonatel, à cause des agissements de l’ARTP, « a été obligé de procéder à des réorganisations techniques et humaines (traitement des appels par les plateaux, renégociation des contrats avec les centres d’appels, etc.) avec comme objectif de minimiser l’impact sur le service fourni aux clients. Par ailleurs, il nous a été reproché de ne pas avoir répondu aux différentes correspondances de l’ARTP. Nous dénonçons ces allégations fallacieuses qui cherchent à ternir encore plus l’image de Sonatel que l’on essaye de mettre à mal vis-à-vis de nos clients, des autorités et de l’opinion publique ».
M. Mbodji confirme que Sonatel a répondu systématiquement à tous les courriers reçus et a régulièrement tenu des réunions d’informations avec l’ARTP entre 2014 et 2015. « Par contre, il est important de signaler que l’ARTP n’a pas dégainé répondre à tous nos courriers argumentés. Pour PCCI : 1, 450 milliard en 2014 à 3,051 milliards en 2016. Waye 2 call : 214 millions en 214 à 1, 300 milliard en 2016. En plus, 1000 emplois ont été crées via les prestataires externes des centres d’appels) », ajoute-t-il.
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