Me Ciré Clédor Ly, l'un des avocats de l'opposant Ousmane Sonko a invité la CPI à dépêcher des experts enquêteurs à Ziguinchor où des manifestants de son client sont violemment réprimés par les forces de l'ordre.
« Deuxième alerte à la communauté nationale et internationale sur la situation au Sénégal. Depuis le mois de mars 2021, le climat social s’est de plus en plus détérioré avec des centaines de détenus politiques, de blessés et plus de 15 morts dans des affrontement entre forces de défense et de sécurité et, une société qui n’a comme seule exigence le respect des libertés démocratiques ainsi que des droits et libertés garantis par la constitution et les conventions internationales dûment ratifiées par le Sénégal », a dit Me Ly.
Les images diffusées par la presse nationale et internationale, montrent à la présente heure et de par le passé, un « usage disproportionné » de la force sur une population civile et qui pourrait dégénérer au « crime contre l’humanité si ceux qui ont le pouvoir d’y mettre fin s’abstiennent de le faire ».
L’Organisation des nations unies et la Cour pénale internationale sont alertées pour qu’elles dépêchent des experts et des enquêteurs à Ziguinchor et qu’il y ait une mise en garde ferme d’arrêter dans l’immédiat l’usage de la force disproportionnée et sans précédent, sur l’ensemble du territoire national, invite Me Ly.
Cette alerte, selon lui, est aussi faite à l’adresse de l’Union Africaine, du parlement Américain, de l’Union Européenne et de son parlement, de la CEDEAO et de toutes les organisations internationales qui disposent de mécanismes de préventions et de règlements des conflits internes, ou ayant des intérêts pour la préservation de la paix et de la sécurité au Sénégal ou dans la sous région.
« Les violences et atteintes graves aux droits politiques et civils du président Ousmane Sonko ne concourent qu’à empêcher ce dernier de renverser par les urnes un potentiel candidat à sa propre succession aux élections en vue », estime la robe noire.
A l'en croire, « rester inactif au nom de la non-ingérence est une forme de complicité active et de refus de défendre l’idéal de démocratie et de respect des droits humains dans le contexte et la situation présente du pays ».
« La situation est grave et désormais, nul n’est censé l’ignorer », avertit l'avocat de Sonko, à la veille du procès pour viol et menaces de mort de son client.
« Deuxième alerte à la communauté nationale et internationale sur la situation au Sénégal. Depuis le mois de mars 2021, le climat social s’est de plus en plus détérioré avec des centaines de détenus politiques, de blessés et plus de 15 morts dans des affrontement entre forces de défense et de sécurité et, une société qui n’a comme seule exigence le respect des libertés démocratiques ainsi que des droits et libertés garantis par la constitution et les conventions internationales dûment ratifiées par le Sénégal », a dit Me Ly.
Les images diffusées par la presse nationale et internationale, montrent à la présente heure et de par le passé, un « usage disproportionné » de la force sur une population civile et qui pourrait dégénérer au « crime contre l’humanité si ceux qui ont le pouvoir d’y mettre fin s’abstiennent de le faire ».
L’Organisation des nations unies et la Cour pénale internationale sont alertées pour qu’elles dépêchent des experts et des enquêteurs à Ziguinchor et qu’il y ait une mise en garde ferme d’arrêter dans l’immédiat l’usage de la force disproportionnée et sans précédent, sur l’ensemble du territoire national, invite Me Ly.
Cette alerte, selon lui, est aussi faite à l’adresse de l’Union Africaine, du parlement Américain, de l’Union Européenne et de son parlement, de la CEDEAO et de toutes les organisations internationales qui disposent de mécanismes de préventions et de règlements des conflits internes, ou ayant des intérêts pour la préservation de la paix et de la sécurité au Sénégal ou dans la sous région.
« Les violences et atteintes graves aux droits politiques et civils du président Ousmane Sonko ne concourent qu’à empêcher ce dernier de renverser par les urnes un potentiel candidat à sa propre succession aux élections en vue », estime la robe noire.
A l'en croire, « rester inactif au nom de la non-ingérence est une forme de complicité active et de refus de défendre l’idéal de démocratie et de respect des droits humains dans le contexte et la situation présente du pays ».
« La situation est grave et désormais, nul n’est censé l’ignorer », avertit l'avocat de Sonko, à la veille du procès pour viol et menaces de mort de son client.