Malgré les nombreuses assurances du Président Sall, beaucoup de Sénégalais continuent à penser que le projet de révision constitutionnelle n’a pas encore révélé tous ses secrets. Parmi ces Sénégalais sceptiques et dubitatifs, il faut ranger Mamadou Lamine Diallo.
Le fondateur du Mouvement « Tekki », qui s’est très vite insurgé contre le référendum en énonçant un retentissant « NON », trouve qu’il y a dans le projet de nombreuses zones d'ombre.
Dans une déclaration, l’ancien candidat malheureux de la présidentielle de 2007 pointe d’un doigt accusateur deux articles consigné dans le projet que les Sénégalais s’apprêtent à sanctionner le 20 mars prochain. « J’attire votre attention sur deux articles du texte soumis au référendum. L’article 86 alinéa 5 : le Premier ministre peut, en outre, recourir à cette procédure pour un autre projet ou une proposition de loi par session. Et l’article 25 alinéa 3 : Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la constitution, les lois et règlements, notamment d’accomplir ces devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui ….», écrit-il. Pour Mamadou Lamine Diallo, il n’y a pas à chercher de midi à quatorze heures, « La combinaison de ces articles ouvre de fait, la voie à une reconnaissance légale du mariage pour tous au Sénégal ».
Poursuivant son analyse, l’ancien élève du lycée Van Vollenhoven estime que « tous les autres points de la révision 15.18. ou 22, sont pour l’essentiel, des leurres pour noyer le gros poisson de la remise en cause du mariage et de la famille qui constituent la base naturelle et morale de la communauté humaine».
Mamadou Lamine Diallo, qui avait expliqué son « NON » par le reniement de Macky Sall, la concertation qui a fait défaut et la mise au placard des plus importantes réformes préconisées par la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), croit savoir le pourquoi de tous ces manquements. Pour le député, avec ces très grands méchants loups, « on comprend mieux dès lors, la précipitation de Macky SALL et son refus de toute concertation sur son projet de révision». Le clou si profondément enfoncé, le député s’interroge : « Serait-ce tout l’enjeu caché de la révision constitutionnelle et du référendum de Macky Sall ? »
Le fondateur du Mouvement « Tekki », qui s’est très vite insurgé contre le référendum en énonçant un retentissant « NON », trouve qu’il y a dans le projet de nombreuses zones d'ombre.
Dans une déclaration, l’ancien candidat malheureux de la présidentielle de 2007 pointe d’un doigt accusateur deux articles consigné dans le projet que les Sénégalais s’apprêtent à sanctionner le 20 mars prochain. « J’attire votre attention sur deux articles du texte soumis au référendum. L’article 86 alinéa 5 : le Premier ministre peut, en outre, recourir à cette procédure pour un autre projet ou une proposition de loi par session. Et l’article 25 alinéa 3 : Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la constitution, les lois et règlements, notamment d’accomplir ces devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui ….», écrit-il. Pour Mamadou Lamine Diallo, il n’y a pas à chercher de midi à quatorze heures, « La combinaison de ces articles ouvre de fait, la voie à une reconnaissance légale du mariage pour tous au Sénégal ».
Poursuivant son analyse, l’ancien élève du lycée Van Vollenhoven estime que « tous les autres points de la révision 15.18. ou 22, sont pour l’essentiel, des leurres pour noyer le gros poisson de la remise en cause du mariage et de la famille qui constituent la base naturelle et morale de la communauté humaine».
Mamadou Lamine Diallo, qui avait expliqué son « NON » par le reniement de Macky Sall, la concertation qui a fait défaut et la mise au placard des plus importantes réformes préconisées par la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), croit savoir le pourquoi de tous ces manquements. Pour le député, avec ces très grands méchants loups, « on comprend mieux dès lors, la précipitation de Macky SALL et son refus de toute concertation sur son projet de révision». Le clou si profondément enfoncé, le député s’interroge : « Serait-ce tout l’enjeu caché de la révision constitutionnelle et du référendum de Macky Sall ? »