La Fédération Nationale des Cadres Libéraux (FNCL) s’est réunie à la permanence Oumar Lamine Badji, à l’effet d’examiner la situation politique nationale et la question liée aux Accords de Partenariat Economique (APE).
Abordant la situation politique nationale, La FNCL tient, en prélude, à apporter son soutien sans ambages à la sœur Aïssatou Mbodj, Présidente du Conseil Départemental de Bambey suite à la tentative de spoliation de son poste à la tête de la dite circonscription territoriale par l’Etat-APR.
La sœur Aïssatou Mbodj, par ailleurs première femme Présidente de Conseil Départemental au Sénégal, est indexée par les responsables du camp présidentiel comme étant l'unique frein à une hypothétique victoire du camp présidentiel aux prochaines joutes électorales, d’où la mise en place de la GOLIPAM (Grande Offensive pour la Liquidation Politique de Aida Mbodj) en utilisant honteusement les maigres moyens de l’Etat. Afin de donner un semblant de légalité à sa forfaiture et un corpus à sa mesure, le ministre de la gouvernance locale a convoqué, sciemment, la loi 96-11 du 22 mars 1996, sous l’égide de son donneur d’ordre Macky Sall, faisant fi de la récente loi 2013-10 régissant les collectivités locales, loi issue de leur piteuse réforme dénommée Acte III de la Décentralisation.
Ainsi, la FNCL considère la décision du ministre-militant comme nulle et non avenue, usera de tous les moyens légaux afin de poursuivre le dit ministre pour abus de pouvoir et pour violation manifeste de la loi 2013-10 du 28 Décembre 2013 notamment en son livre 1 - Titre 4 – chapitre 2 - Articles 55 à 59. Elle encourage le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) à organiser la résistance politique et juridique aux fins de stopper définitivement les incessantes agressions de ce régime contre le Parti et contre les Sénégalais en général.
Dans le même sillage, la FNCL exhorte les militants et les responsables du PDS à continuer la massification du parti au niveau de chaque commune et département afin de mieux préparer les défis futurs. Elle lance un appel à la Direction du Parti, au Front Patriotique pour la Défense de la République (FPDR), au Cadre de Concertation de l’Opposition (C2O) à intensifier la lutte contre le système électoral ultra frauduleux du régime en place, à s’atteler à l’assainissement du fichier électoral et à l’unité de l’opposition toute entière en vue des échéances de 2017 et de 2019.
Abordant la situation politique nationale, La FNCL tient, en prélude, à apporter son soutien sans ambages à la sœur Aïssatou Mbodj, Présidente du Conseil Départemental de Bambey suite à la tentative de spoliation de son poste à la tête de la dite circonscription territoriale par l’Etat-APR.
La sœur Aïssatou Mbodj, par ailleurs première femme Présidente de Conseil Départemental au Sénégal, est indexée par les responsables du camp présidentiel comme étant l'unique frein à une hypothétique victoire du camp présidentiel aux prochaines joutes électorales, d’où la mise en place de la GOLIPAM (Grande Offensive pour la Liquidation Politique de Aida Mbodj) en utilisant honteusement les maigres moyens de l’Etat. Afin de donner un semblant de légalité à sa forfaiture et un corpus à sa mesure, le ministre de la gouvernance locale a convoqué, sciemment, la loi 96-11 du 22 mars 1996, sous l’égide de son donneur d’ordre Macky Sall, faisant fi de la récente loi 2013-10 régissant les collectivités locales, loi issue de leur piteuse réforme dénommée Acte III de la Décentralisation.
Ainsi, la FNCL considère la décision du ministre-militant comme nulle et non avenue, usera de tous les moyens légaux afin de poursuivre le dit ministre pour abus de pouvoir et pour violation manifeste de la loi 2013-10 du 28 Décembre 2013 notamment en son livre 1 - Titre 4 – chapitre 2 - Articles 55 à 59. Elle encourage le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) à organiser la résistance politique et juridique aux fins de stopper définitivement les incessantes agressions de ce régime contre le Parti et contre les Sénégalais en général.
Dans le même sillage, la FNCL exhorte les militants et les responsables du PDS à continuer la massification du parti au niveau de chaque commune et département afin de mieux préparer les défis futurs. Elle lance un appel à la Direction du Parti, au Front Patriotique pour la Défense de la République (FPDR), au Cadre de Concertation de l’Opposition (C2O) à intensifier la lutte contre le système électoral ultra frauduleux du régime en place, à s’atteler à l’assainissement du fichier électoral et à l’unité de l’opposition toute entière en vue des échéances de 2017 et de 2019.