Endommagée lors des dernières inondations, l’école Massourang Sourang a été réhabilitée. Suite à des sollicitations de la direction, Fatou Diané, la coordonnatrice nationale du Programme de développement de la microfinance islamique (PROMISE) s’est signalée et a rénové celle-ci, au grand bonheur des élèves et du corps enseignant.
L’ex école franco-mouride de la commune de Diourbel a reçu une cure de jouvence après les dégâts constatés, en septembre dernier lors des pluies diluviennes. Cela fait suite à des démarches de la direction dudit établissement scolaire. Fatou Diané, coordination du Programme de développement de la microfinance islamique, y a répondu favorablement. « Cette année, pendant l’hivernage, plus précisément au mois de septembre, il y a eu des pluies diluviennes qui ont endommagé une partie de l’école. Nous avons eu la pensée d’adresser des correspondances à la hiérarchie, aux autorités administratives et à certains hommes politiques.
Mais c’est Fatou Diané qui a été la première à réagir. Celui-ci souligne notre vœu était de refaire le pan d’un mur d’une salle de classe, la principale partie touchée. « Non seulement, elle l’a fait, mais elle a tenu effectivement à repeindre tout l’établissement. Mieux, l’ex directrice de la règlementation et de la supervision des services financiers décentralisés du ministère de l’économie et des finances a réhabilité les toilettes, le portail et fait fabriquer une enseigne panneau pour la devanture de l’école. Nous estimons le coute d’investissement à plus de 2 millions de F Cfa » se réjouit-il.
M. Ndiaye lance aussi un appel aux anciens pensionnaires pour qu’il apporte leur soutien pour la construction d’autres salles de classes afin d’augmenter la capacité d’accueil. « Nous avons une demande très forte. Cette année nous avons un effectif de 775 élèves répartis dans les 13 salles physiques que nous disposons. L’explication est simple, l’école se situe dans le quartier le plus populaire de la capitale du Baol, le Médinatoul » explique M. Ndiaye. Il informe qu’en 2018, il était prévu de construire trois (3) salles de classes mais l’école n’a même pas de cours donc pas d’espace. La seule solution c’est la construction en hauteur. Dans ce cadre le directeur renseigne que la famille du parrain, Massourang Sourang s’est engagée à réhabiliter l’école et elle a d’ailleurs envoyé un entrepreneur pour une prospection et leur ambition est de construire des étages. Ça va rompre avec l’architecture mais le saut en veut la chandelle révèle-t-il.
L’ex école franco-mouride de la commune de Diourbel a reçu une cure de jouvence après les dégâts constatés, en septembre dernier lors des pluies diluviennes. Cela fait suite à des démarches de la direction dudit établissement scolaire. Fatou Diané, coordination du Programme de développement de la microfinance islamique, y a répondu favorablement. « Cette année, pendant l’hivernage, plus précisément au mois de septembre, il y a eu des pluies diluviennes qui ont endommagé une partie de l’école. Nous avons eu la pensée d’adresser des correspondances à la hiérarchie, aux autorités administratives et à certains hommes politiques.
Mais c’est Fatou Diané qui a été la première à réagir. Celui-ci souligne notre vœu était de refaire le pan d’un mur d’une salle de classe, la principale partie touchée. « Non seulement, elle l’a fait, mais elle a tenu effectivement à repeindre tout l’établissement. Mieux, l’ex directrice de la règlementation et de la supervision des services financiers décentralisés du ministère de l’économie et des finances a réhabilité les toilettes, le portail et fait fabriquer une enseigne panneau pour la devanture de l’école. Nous estimons le coute d’investissement à plus de 2 millions de F Cfa » se réjouit-il.
M. Ndiaye lance aussi un appel aux anciens pensionnaires pour qu’il apporte leur soutien pour la construction d’autres salles de classes afin d’augmenter la capacité d’accueil. « Nous avons une demande très forte. Cette année nous avons un effectif de 775 élèves répartis dans les 13 salles physiques que nous disposons. L’explication est simple, l’école se situe dans le quartier le plus populaire de la capitale du Baol, le Médinatoul » explique M. Ndiaye. Il informe qu’en 2018, il était prévu de construire trois (3) salles de classes mais l’école n’a même pas de cours donc pas d’espace. La seule solution c’est la construction en hauteur. Dans ce cadre le directeur renseigne que la famille du parrain, Massourang Sourang s’est engagée à réhabiliter l’école et elle a d’ailleurs envoyé un entrepreneur pour une prospection et leur ambition est de construire des étages. Ça va rompre avec l’architecture mais le saut en veut la chandelle révèle-t-il.
Relevant quelques manquements qui persistent, le responsable déplore la vétusté de certains tableaux et le manque de table-bancs. A cela s’ajoute la demande de mise en disposition d’un agent de sécurité de proximité pour faciliter aux élèves la traversée de la route et ainsi réduire les dangers d’accidents.
Cette ancienne résidence du secrétaire de Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du mouridisme Baila Thioro est devenue une école depuis 1930. A l’époque, elle s’appelait l’école franco-mouride. En 1996, elle est rebaptisée Massourang Sourang, un illustre notable de Diourbel et se situe au sud-est de la résidence du Cheikh juste après le montage de la vallée appelée «Khour bi».
775 blouses scolaires offertes aux élèves
Après la coordonnatrice du Programme de développement de la microfinance islamique (Promise), Fatou Diané, le directeur du centre régional des œuvres universitaires de Bambey, Moustapha entre dans la danse. Il a offert aux 755 potaches des blouses scolaires d’une valeur de plus 1,5 million de F Cfa. Un geste qu’apprécient élèves, administrateurs et parents d’élèves. Élève en classe de CI, Serigne Fallou Beye se réjoui du fait qu’il porte maintenant une blouse comme certains élèves d’autres écoles de la commune. Ancien trésorier du comité de gestion de l’établissement, Babacar Fall informe que c’est une première que les élèves de Massourang Sourang portent des blouses et c’est grâce au directeur du Crous de Bambey. Cependant il s’interroge sur les possibilités de pérenniser le port de blouse dans cette école.
Cette ancienne résidence du secrétaire de Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du mouridisme Baila Thioro est devenue une école depuis 1930. A l’époque, elle s’appelait l’école franco-mouride. En 1996, elle est rebaptisée Massourang Sourang, un illustre notable de Diourbel et se situe au sud-est de la résidence du Cheikh juste après le montage de la vallée appelée «Khour bi».
775 blouses scolaires offertes aux élèves
Après la coordonnatrice du Programme de développement de la microfinance islamique (Promise), Fatou Diané, le directeur du centre régional des œuvres universitaires de Bambey, Moustapha entre dans la danse. Il a offert aux 755 potaches des blouses scolaires d’une valeur de plus 1,5 million de F Cfa. Un geste qu’apprécient élèves, administrateurs et parents d’élèves. Élève en classe de CI, Serigne Fallou Beye se réjoui du fait qu’il porte maintenant une blouse comme certains élèves d’autres écoles de la commune. Ancien trésorier du comité de gestion de l’établissement, Babacar Fall informe que c’est une première que les élèves de Massourang Sourang portent des blouses et c’est grâce au directeur du Crous de Bambey. Cependant il s’interroge sur les possibilités de pérenniser le port de blouse dans cette école.