Facebook Live a été pensé pour permettre aux utilisateurs de la célèbre plateforme de diffuser des contenus en direct et de les partager ensuite avec le plus grand nombre. Le service n’est pas parfait – encore moins depuis sa dernière mise à jour -, mais il offre tout de même de nombreux avantages pour les particuliers ou même pour les médias et les entreprises.
Si plusieurs cas de suicide ont été recensés au fil de ces derniers mois, certains utilisateurs ont également utilisé le service pour filmer des agressions sexuelles et des viols. Ces écarts ont contraint Facebook à durcir le ton et à mettre en place de nouveaux outils de modération afin d’éviter la propagation de ces contenus. Les mesures prises semblent malheureusement perfectibles et c’est précisément ce que prouve ce nouveau drame.
Quatre adolescents prétendument affiliés à un gang se trouvaient à bord d’une voiture filant à vive allure à travers les rues de Rio de Janeiro lorsque l’un d’eux s’est mis en tête de filmer et de retransmettre la scène en direct par le biais de Facebook Live.
L’ambiance était plutôt à la fête, mais la situation a pris une toute autre tournure lorsque des policiers armés ont ouvert le feu sur le véhicule à partir d’un hélicoptère survolant le quartier. Trois des adolescents présents à son bord ont été tués sur le coup, criblés de balles. Le quatrième a été grièvement blessé et transporté ensuite à l’hôpital.
Une exécution filmée en direct
Toute la scène a évidemment été filmée et les personnes connectées au flux au moment des faits ont donc pu assister à l’exécution de ces trois adolescents en direct.
D’après les informations communiquées par les médias locaux, les quatre adolescents faisaient l’objet d’une enquête et ils étaient ainsi soupçonnés de faire partie d’un réseau de vente et de distribution de drogues. Selon la police, l’opération visait avant des membres du gang Nando, un gang très présent à Rio de Janeiro.
L’exécution de ces trois adolescents a fait beaucoup de bruit au Brésil et de nombreuses personnes ont ainsi reproché à la police d’avoir sciemment ouvert le feu sur les occupants du véhicule au lieu de les interpeller.
Dans ce contexte, cette vidéo – aussi sordide soit-elle – est considérée par beaucoup comme une preuve indiscutable des méthodes peu orthodoxes utilisées par la police locale.
Si plusieurs cas de suicide ont été recensés au fil de ces derniers mois, certains utilisateurs ont également utilisé le service pour filmer des agressions sexuelles et des viols. Ces écarts ont contraint Facebook à durcir le ton et à mettre en place de nouveaux outils de modération afin d’éviter la propagation de ces contenus. Les mesures prises semblent malheureusement perfectibles et c’est précisément ce que prouve ce nouveau drame.
Quatre adolescents prétendument affiliés à un gang se trouvaient à bord d’une voiture filant à vive allure à travers les rues de Rio de Janeiro lorsque l’un d’eux s’est mis en tête de filmer et de retransmettre la scène en direct par le biais de Facebook Live.
L’ambiance était plutôt à la fête, mais la situation a pris une toute autre tournure lorsque des policiers armés ont ouvert le feu sur le véhicule à partir d’un hélicoptère survolant le quartier. Trois des adolescents présents à son bord ont été tués sur le coup, criblés de balles. Le quatrième a été grièvement blessé et transporté ensuite à l’hôpital.
Une exécution filmée en direct
Toute la scène a évidemment été filmée et les personnes connectées au flux au moment des faits ont donc pu assister à l’exécution de ces trois adolescents en direct.
D’après les informations communiquées par les médias locaux, les quatre adolescents faisaient l’objet d’une enquête et ils étaient ainsi soupçonnés de faire partie d’un réseau de vente et de distribution de drogues. Selon la police, l’opération visait avant des membres du gang Nando, un gang très présent à Rio de Janeiro.
L’exécution de ces trois adolescents a fait beaucoup de bruit au Brésil et de nombreuses personnes ont ainsi reproché à la police d’avoir sciemment ouvert le feu sur les occupants du véhicule au lieu de les interpeller.
Dans ce contexte, cette vidéo – aussi sordide soit-elle – est considérée par beaucoup comme une preuve indiscutable des méthodes peu orthodoxes utilisées par la police locale.