"Je suis tombé des nues en apprenant ce qui a été écrit. Les médias sont libres, mais il ne leur est pas permis de diffamer, de raconter des contrevérités. Je suis choqué par ce tissu de mensonges. Celui qui a écrit ce raisonnement spécieux est de mauvaise foi et il ne mérite vraiment pas le statut de journaliste et c'est le lieu d'alerter sur les dérives dans la presse. Depuis quelques temps et c'est malheureux tout le monde se dit journaliste. Il est temps d'ériger des garde-fous dans votre milieu parce que c'en est trop. N'est-ce pas que la déontologie des journalistes, des vrais journalistes je veux dire, formés à bonne école, connus et qui se reconnaissent, impose l’intégrité, l’équité, la vérification des faits…? " dira d'emblée le chanteur Fallou Dieng joint par dakarposte.
"Je suis en train de me concerter avec mes avocats pour poursuivre le ou les auteurs de cette fausse information. Nous avons une image à préserver, nous avons une famille, une progéniture, bref je n'accepterais jamais et pour rien au monde que mon image soit avilie par des sournois tapis dans l'ombre. J'ai fait plus de vingt ans de carrière musicale et machallah, vous n'avez jamais entendu Fallou Dieng dans des pratiques peu orthodoxes. Ma conscience, ma religion, bref la jugeote m'interdisent de descendre dans le caniveau.
J'ignore vraiment les motivations de celui qui est derrière ce fake news sur ma modeste personne, mais je vous le jure sur tout ce qui m'est cher que je n'ai jamais été retenu à Paris comme insinué dans l'article mensonger. Je suis rentré hier soir (vendredi) et d'ailleurs ceux qui fréquentent le restaurant "LE TAÏF" sur la Place de l'Obélisque, Guissé Pène par exemple, peuvent en témoigner. Car, aussitôt arrivé à Dakar, j'ai d'abord regagné ma maison avant de rejoindre mes amis et collègues artistes. C'est là où nous nous retrouvons presque tous les soirs pour discuter de tout et de rien entre amis.
Je vous assure et il vous est loisible de vérifier, j'ai reçu un billet d'avion à l'image de tous les artistes invités; mais je vous jure que c'est un billet en bonne et due forme que j'ai reçu du producteur, Makhou, Mactar du label Soubatel, organisateur du grand Bégué de Pape Diouf. D'ailleurs, aussitôt après ma prestation à Bercy, j'ai pris congé d'eux pour vaquer à mes occupations dans la capitale Française. Et puis j'ai voyagé en first class avec des dames qui font du "GP" (transport de colis entre pays) et elles peuvent témoigner pour m'avoir vu embarquer de Paris en passant par le Portugal avant d'atterrir sur le sol ferme Dakarois."
"Je suis en train de me concerter avec mes avocats pour poursuivre le ou les auteurs de cette fausse information. Nous avons une image à préserver, nous avons une famille, une progéniture, bref je n'accepterais jamais et pour rien au monde que mon image soit avilie par des sournois tapis dans l'ombre. J'ai fait plus de vingt ans de carrière musicale et machallah, vous n'avez jamais entendu Fallou Dieng dans des pratiques peu orthodoxes. Ma conscience, ma religion, bref la jugeote m'interdisent de descendre dans le caniveau.
J'ignore vraiment les motivations de celui qui est derrière ce fake news sur ma modeste personne, mais je vous le jure sur tout ce qui m'est cher que je n'ai jamais été retenu à Paris comme insinué dans l'article mensonger. Je suis rentré hier soir (vendredi) et d'ailleurs ceux qui fréquentent le restaurant "LE TAÏF" sur la Place de l'Obélisque, Guissé Pène par exemple, peuvent en témoigner. Car, aussitôt arrivé à Dakar, j'ai d'abord regagné ma maison avant de rejoindre mes amis et collègues artistes. C'est là où nous nous retrouvons presque tous les soirs pour discuter de tout et de rien entre amis.
Je vous assure et il vous est loisible de vérifier, j'ai reçu un billet d'avion à l'image de tous les artistes invités; mais je vous jure que c'est un billet en bonne et due forme que j'ai reçu du producteur, Makhou, Mactar du label Soubatel, organisateur du grand Bégué de Pape Diouf. D'ailleurs, aussitôt après ma prestation à Bercy, j'ai pris congé d'eux pour vaquer à mes occupations dans la capitale Française. Et puis j'ai voyagé en first class avec des dames qui font du "GP" (transport de colis entre pays) et elles peuvent témoigner pour m'avoir vu embarquer de Paris en passant par le Portugal avant d'atterrir sur le sol ferme Dakarois."