Placé sous mandat de dépôt le 27 février dernier dans le cadre de l'affaire des transactions douteuses portant sur 125 milliards de francs CFA, révélées par un rapport de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), Farba Ngom demeure en détention.
Selon le journal Les Échos, le juge d'instruction du Pool judiciaire financier (Pjf), Idrissa Diarra, a une nouvelle fois refusé l’offre de cautionnement présentée par le maire des Agnam. La raison avancée par le magistrat est que « trois des titres fonciers » soumis par l’ex-député de l’Alliance pour la République (APR) « ne sont pas à son nom, mais à ceux de ses sociétés ».
D’après la même source, le juge préfère que le mis en cause propose des biens personnels, afin de minimiser tout risque juridique. Ce rejet s’inscrit dans une série de refus, après que deux précédentes propositions de cautionnement ont été écartées : l’une d’un montant de 34 milliards de francs CFA et l’autre, basée sur des biens estimés à plus de 31 milliards.
Toutefois, l’espoir d’une libération sous caution n’est pas totalement écarté pour Farba Ngom. Il conserve la possibilité de « retirer ces titres et d’en proposer d’autres sur lesquels figure son nom », précise Les Échos. Reste à savoir si l’édile des Agnam pourra satisfaire aux exigences de la justice pour obtenir sa libération provisoire.
Selon le journal Les Échos, le juge d'instruction du Pool judiciaire financier (Pjf), Idrissa Diarra, a une nouvelle fois refusé l’offre de cautionnement présentée par le maire des Agnam. La raison avancée par le magistrat est que « trois des titres fonciers » soumis par l’ex-député de l’Alliance pour la République (APR) « ne sont pas à son nom, mais à ceux de ses sociétés ».
D’après la même source, le juge préfère que le mis en cause propose des biens personnels, afin de minimiser tout risque juridique. Ce rejet s’inscrit dans une série de refus, après que deux précédentes propositions de cautionnement ont été écartées : l’une d’un montant de 34 milliards de francs CFA et l’autre, basée sur des biens estimés à plus de 31 milliards.
Toutefois, l’espoir d’une libération sous caution n’est pas totalement écarté pour Farba Ngom. Il conserve la possibilité de « retirer ces titres et d’en proposer d’autres sur lesquels figure son nom », précise Les Échos. Reste à savoir si l’édile des Agnam pourra satisfaire aux exigences de la justice pour obtenir sa libération provisoire.