Les policiers du poste de Bargny ont mis fin à un réseau de trafic international de drogue en provenance de Guinée. Deux trafiquants, interceptés en possession de 16,5 kg de chanvre indien, ont été arrêtés, selon des informations obtenues par nos confrères de Seneweb. Cette opération a été rendue possible grâce à un renseignement concernant un commerce illicite de stupéfiants dans le quartier Finkone, à Bargny.
Le 27 décembre dernier, sous la supervision du lieutenant Babacar Ly, les forces de l’ordre ont établi un dispositif de surveillance autour des lieux soupçonnés d’abriter le trafic. Les policiers ont ainsi interpellé deux suspects de nationalité guinéenne. Lors de la palpation, un cornet de chanvre indien a été découvert sur I. Kenda. Face à la preuve, ce dernier a admis s’être procuré la drogue auprès de son complice, O. Sylla, qui a été arrêté en même temps que lui.
Interrogé, O. Sylla a reconnu être un trafiquant notoire et a indiqué qu’il détenait une importante quantité de drogue à son domicile, situé à Sébi-Ponty. Une perquisition menée sur place a permis aux enquêteurs de saisir 16,5 kg de drogue, deux paires de ciseaux, deux couteaux, deux balances électroniques, du papier kraft utilisé pour conditionner la marchandise, ainsi que d’autres objets liés au trafic.
Né en Guinée en 1985, O. Sylla disposait frauduleusement d’une carte nationale d’identité sénégalaise. Lors de son arrestation, il détenait également une carte d’identité consulaire guinéenne délivrée par l’ambassade de Guinée au Sénégal. Sur sa carte sénégalaise, il était inscrit qu’il était né à Diamniadio en 1990. Sylla a révélé avoir obtenu un extrait de naissance sénégalais en échange d’une somme d’argent, ce qui lui a permis d’acquérir sa carte d’identité nationale sénégalaise en janvier 2022.
Concernant la provenance de la drogue, O. Sylla a expliqué que son fournisseur, basé en Guinée, lui faisait parvenir les stupéfiants via un camionneur sénégalais. La marchandise était récupérée à l’entrée de Mbour avant d’être transportée à Sébi-Ponty en taxi.
Les deux trafiquants guinéens ont été placés en garde à vue pour trafic international de drogue. O. Sylla est également poursuivi pour faux et usage de faux sur des documents administratifs. L’enquête, qui vise à démanteler tout le réseau, se poursuit.
Le 27 décembre dernier, sous la supervision du lieutenant Babacar Ly, les forces de l’ordre ont établi un dispositif de surveillance autour des lieux soupçonnés d’abriter le trafic. Les policiers ont ainsi interpellé deux suspects de nationalité guinéenne. Lors de la palpation, un cornet de chanvre indien a été découvert sur I. Kenda. Face à la preuve, ce dernier a admis s’être procuré la drogue auprès de son complice, O. Sylla, qui a été arrêté en même temps que lui.
Interrogé, O. Sylla a reconnu être un trafiquant notoire et a indiqué qu’il détenait une importante quantité de drogue à son domicile, situé à Sébi-Ponty. Une perquisition menée sur place a permis aux enquêteurs de saisir 16,5 kg de drogue, deux paires de ciseaux, deux couteaux, deux balances électroniques, du papier kraft utilisé pour conditionner la marchandise, ainsi que d’autres objets liés au trafic.
Né en Guinée en 1985, O. Sylla disposait frauduleusement d’une carte nationale d’identité sénégalaise. Lors de son arrestation, il détenait également une carte d’identité consulaire guinéenne délivrée par l’ambassade de Guinée au Sénégal. Sur sa carte sénégalaise, il était inscrit qu’il était né à Diamniadio en 1990. Sylla a révélé avoir obtenu un extrait de naissance sénégalais en échange d’une somme d’argent, ce qui lui a permis d’acquérir sa carte d’identité nationale sénégalaise en janvier 2022.
Concernant la provenance de la drogue, O. Sylla a expliqué que son fournisseur, basé en Guinée, lui faisait parvenir les stupéfiants via un camionneur sénégalais. La marchandise était récupérée à l’entrée de Mbour avant d’être transportée à Sébi-Ponty en taxi.
Les deux trafiquants guinéens ont été placés en garde à vue pour trafic international de drogue. O. Sylla est également poursuivi pour faux et usage de faux sur des documents administratifs. L’enquête, qui vise à démanteler tout le réseau, se poursuit.