Pour l’année 2017, la femme de développement, Ndeye Ndiaye "Atlanta" a lancé Casa Dev (Casamance Développement). A travers cette association, celle qu’on surnomme la dame de "fer "veut relancer les activités économique, culturelles et artisanales dans sa région natale. « Les embarcations de fortune depuis Kafountine de nos frères et sœurs de la Casamance qui continuent de braver la mer et ses houles en direction de l’Europe, pour périr, est un danger permanent et c’est triste pour la région. CASA’DEV, dans sa recherche de solutions idoines, envisage d’accompagner les jeunes rappeurs de Mbour, le groupe Akhlou Brick Paradise, idoles des jeunes sénégalais, conscient de ce triste et inquiétant phénomène d’évasion pour atterrir à une mort probable ou à des risques de difficultés », explique Mme Ndiaye. CASA’DEV, dans sa recherche de solutions idoines, a organisé le mois de Décembre 2017 des concerts très prisés par la jeunesse pour visualiser le film sur le parcours de personnes références comme exemple de réussite par le travail et les fonds récoltés seront utilisés pour des activités de formation et d’encadrement des jeunes dans le développement...
Pour 2017, Ndeye Ndiaye "Atlanta", présidente de Casa Dev (Casamance Développement), a frappé un grand coup dans le social - économique en envoyant au salon Annuel Africain de l'Economie Sociale et de l'Artisanat à Casablanca au Maroc en mi-novembre, des femmes du Sud du pays, s'activant dans la transformation des produits locaux sans tambour trompette.
Son engagement politique en Casamance
Selon notre confrère Papo Mané, qui a tracé un long parcours de cette dame, persiste qu’en décidant de flirter avec la politique, Ndèye Ndiaye « Atlanta » savait qu’elle posait le pied sur un terrain glissant où tous les coups sont permis. Mais, comme c’est le prix à payer pour réaliser son ambition de travailler à l’amélioration des conditions de vie de ses « sœurs », elle a finalement franchi le pas. Une « marre à caïmans » dans laquelle elle a réussi à s’imposer, non sans difficultés. Elle aurait pu rester tranquillement dans son « exil », pour réaliser son « rêve américain », mais, Ndèye Ndiaye « Atlanta » n’a jamais oublié qu’elle a laissé derrière elle des femmes meurtries, indigentes et même persécutées dans un conflit où cette catégorie sociale a été la plus exposée, la plus brimée. C’est ce triste destin réservé aux femmes, notamment celles de sa Casamance natale qui commandera l’action et l’engagement de cette dame de caractère.
Son engagement politique en Casamance
Selon notre confrère Papo Mané, qui a tracé un long parcours de cette dame, persiste qu’en décidant de flirter avec la politique, Ndèye Ndiaye « Atlanta » savait qu’elle posait le pied sur un terrain glissant où tous les coups sont permis. Mais, comme c’est le prix à payer pour réaliser son ambition de travailler à l’amélioration des conditions de vie de ses « sœurs », elle a finalement franchi le pas. Une « marre à caïmans » dans laquelle elle a réussi à s’imposer, non sans difficultés. Elle aurait pu rester tranquillement dans son « exil », pour réaliser son « rêve américain », mais, Ndèye Ndiaye « Atlanta » n’a jamais oublié qu’elle a laissé derrière elle des femmes meurtries, indigentes et même persécutées dans un conflit où cette catégorie sociale a été la plus exposée, la plus brimée. C’est ce triste destin réservé aux femmes, notamment celles de sa Casamance natale qui commandera l’action et l’engagement de cette dame de caractère.
De son séjour américain, Ndèye Ndiaye « Atlanta » se bat pour venir en aide à la gente féminine. Cet engagement la fera remarquer au sein de la communauté Sénégalaise des Etats-Unis d’Amérique. Chaque année donc, elle revenait dans son pays natal pour apporter son soutien à ses sœurs. Par ses actions, Ndèye Ndaye « Atlanta » frappe naturellement dans l’œil des politiciens qui commencent à se bousculer devant sa porte. Parce que déjà, au pays de l’oncle Sam, la jeune femme qui animait un programme francophone destiné aux ressortissants de l’Afrique de l’ouest et aux Américains francophones dans une radio de la place avait fini de faire l’unanimité autour de ses qualités de tribun et de ses aptitudes politiques.
Toutes ces qualités, Ndèye Ndiaye « Atlanta » les mettra finalement au service d’un jeune cadre Casamançais sur qui il fondait beaucoup d’espoirs pour améliorer la situation de ses compatriotes du sud. La fibre régionaliste l’amène donc à collaborer avec Abdoulaye Baldé. Seulement, son compagnonnage avec celui qui deviendra le cinquième maire de Ziguinchor fera long feu. Après trois mois dans le cabinet ministériel de celui-ci, Ndèye Ndiaye « Atlanta » retourne à ses premiers amours : le développement.
Ce passage en politique lui permit de comprendre certaines règles dans un monde à part où rien ne se donne gratuitement. Forte de cette expérience, Ndèye Ndiaye « Atlanta » prit du recul, mais, pour mieux sauter. Et c’est dans l’Apr qu’elle dépose ses baluchons, convaincue par le « Yoonu Yokkuté », le programme de campagne du candidat Macky Sall. C’est d’ailleurs pourquoi elle décide de rentrer « définitivement » au Sénégal. Une fois sur place, elle participe à la victoire de Macky Sall. Mais, très attachée à sa région natale, la Casamance, Ndèye Ndiaye « Atlanta » milite à Ziguinchor.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Mais, son caractère quelque fois tranché la mettra sur la trajectoire de tir de certaines femmes politiques de la commune de Ziguinchor, et au-delà. Une adversité qui ne semble cependant pas ébranler outre mesure cette dame que certains appellent Aline Sitoé Diatta. « Je n’opterai jamais, comme certains, dans le style feutré et louvoyant du clair-obscur dans ma démarche », a-t-elle l’habitude de répondre à ses détracteurs qui ne manquent pas, même dans son propre camp. Son seul combat aujourd’hui, c’est de participer à mettre le Sénégal, avec la Casamance à son flanc sud, sur la voie de l’émergence. Une mission que Ndèye Ndiaye « Atlanta » mène bien en tant que présidente du réseau des femmes pour l’émergence de Ziguinchor. Elle a par ailleurs à tous les combats depuis 2017 à nos jours pour le triomphe du président de la république. C’est pour cela le site exclusif.net a décidé, de lui décerner la palme de la femme de l’année 2017.
Toutes ces qualités, Ndèye Ndiaye « Atlanta » les mettra finalement au service d’un jeune cadre Casamançais sur qui il fondait beaucoup d’espoirs pour améliorer la situation de ses compatriotes du sud. La fibre régionaliste l’amène donc à collaborer avec Abdoulaye Baldé. Seulement, son compagnonnage avec celui qui deviendra le cinquième maire de Ziguinchor fera long feu. Après trois mois dans le cabinet ministériel de celui-ci, Ndèye Ndiaye « Atlanta » retourne à ses premiers amours : le développement.
Ce passage en politique lui permit de comprendre certaines règles dans un monde à part où rien ne se donne gratuitement. Forte de cette expérience, Ndèye Ndiaye « Atlanta » prit du recul, mais, pour mieux sauter. Et c’est dans l’Apr qu’elle dépose ses baluchons, convaincue par le « Yoonu Yokkuté », le programme de campagne du candidat Macky Sall. C’est d’ailleurs pourquoi elle décide de rentrer « définitivement » au Sénégal. Une fois sur place, elle participe à la victoire de Macky Sall. Mais, très attachée à sa région natale, la Casamance, Ndèye Ndiaye « Atlanta » milite à Ziguinchor.
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