La Fédération sénégalaise de football (FSF) veut privilégier l’expertise locale pour trouver le successeur de l’ex-sélectionneur national, Aliou Cissé, a déclaré son président, Augustin Senghor, mercredi, à Dakar.
“Nous espérons que nous n’irons pas chercher trop loin un successeur à Aliou Cissé. Aujourd’hui, j’ai fait l’éloge de l’expertise nationale. Je pense que mon intuition ne me démentira pas […] L’expertise locale a donné des résultats…”, a dit M. Senghor lors d’une réunion du comité exécutif de la FSF.
La Fédération sénégalaise de football n’écarte toutefois pas la possibilité de recourir à un technicien étranger, selon son président. “Cela ne veut pas dire que nous sommes fermés à l’expertise étrangère”, a-t-il précisé.
“Notre première option est de maintenir cette dynamique qui a fait tache d’huile en Afrique”, a poursuivi Augustin Senghor en parlant du recours aux techniciens locaux pour la succession d’Aliou Cissé.
Il rappelle que beaucoup de pays africains se sont inspirés de ce qu’a fait le Sénégal en nommant des sélectionneurs nationaux parmi leurs entraîneurs locaux. La FSF veut “maintenir cette dynamique” consistant à recourir à “l’expertise locale”, a-t-il insisté, estimant que cette dernière a obtenu de bons résultats.
Augustin Senghor fait surtout allusion au sacre historique du Sénégal à la Coupe d’Afrique des nations 2021, jouée en 2022 au Cameroun, et à la participation de l’équipe nationale aux phases finales des éditions 2018 et 2022 de la Coupe du monde de football, sous la direction de Cissé.
“La seule urgence, c’est de gagner cette double confrontation contre le Malawi” “Au comité exécutif [de la FSF], nous avons pensé que l’urgence n’était pas de choisir un entraîneur tout de suite. Nous estimons que l’urgence est de remobiliser les troupes, les collaborateurs […] Ils connaissent assez bien [l’équipe] et les joueurs pour [disputer] ces deux matchs des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2025, contre le Malawi”, a expliqué M. Senghor.
Il parle ainsi du choix fait par la FSF de laisser des techniciens sénégalais assurer l’intérim d’Aliou Cissé pour les prochains matchs des Lions. “La seule urgence, c’est de gagner cette double confrontation pour nous qualifier [à la CAN 2025]. Après cela s’ouvrira la période de recherche d’un [sélectionneur national]”, a poursuivi le président de la Fédération sénégalaise de football.
Selon lui, le comité exécutif de la FSF, avec la collaboration du ministère des Sports, va établir “une liste retreinte” d’entraîneurs parmi lesquels sera désigné le futur sélectionneur national.
“Nous avons des Sénégalais capables de le faire, ici, au Sénégal, et à l’étranger”, a ajouté M. Senghor en parlant du poste à pourvoir. La Fédération sénégalaise a été “prise de court” par le non-renouvellement du contrat d’Aliou Cissé par l’État sénégalais. Il estime, par ailleurs, que le temps écoulé entre la notification du non-renouvellement du contrat du sélectionneur national et celui de publication de la liste du Sénégal pour le match contre le Malawi “a été court”.
“Nous espérons que nous n’irons pas chercher trop loin un successeur à Aliou Cissé. Aujourd’hui, j’ai fait l’éloge de l’expertise nationale. Je pense que mon intuition ne me démentira pas […] L’expertise locale a donné des résultats…”, a dit M. Senghor lors d’une réunion du comité exécutif de la FSF.
La Fédération sénégalaise de football n’écarte toutefois pas la possibilité de recourir à un technicien étranger, selon son président. “Cela ne veut pas dire que nous sommes fermés à l’expertise étrangère”, a-t-il précisé.
“Notre première option est de maintenir cette dynamique qui a fait tache d’huile en Afrique”, a poursuivi Augustin Senghor en parlant du recours aux techniciens locaux pour la succession d’Aliou Cissé.
Il rappelle que beaucoup de pays africains se sont inspirés de ce qu’a fait le Sénégal en nommant des sélectionneurs nationaux parmi leurs entraîneurs locaux. La FSF veut “maintenir cette dynamique” consistant à recourir à “l’expertise locale”, a-t-il insisté, estimant que cette dernière a obtenu de bons résultats.
Augustin Senghor fait surtout allusion au sacre historique du Sénégal à la Coupe d’Afrique des nations 2021, jouée en 2022 au Cameroun, et à la participation de l’équipe nationale aux phases finales des éditions 2018 et 2022 de la Coupe du monde de football, sous la direction de Cissé.
“La seule urgence, c’est de gagner cette double confrontation contre le Malawi” “Au comité exécutif [de la FSF], nous avons pensé que l’urgence n’était pas de choisir un entraîneur tout de suite. Nous estimons que l’urgence est de remobiliser les troupes, les collaborateurs […] Ils connaissent assez bien [l’équipe] et les joueurs pour [disputer] ces deux matchs des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2025, contre le Malawi”, a expliqué M. Senghor.
Il parle ainsi du choix fait par la FSF de laisser des techniciens sénégalais assurer l’intérim d’Aliou Cissé pour les prochains matchs des Lions. “La seule urgence, c’est de gagner cette double confrontation pour nous qualifier [à la CAN 2025]. Après cela s’ouvrira la période de recherche d’un [sélectionneur national]”, a poursuivi le président de la Fédération sénégalaise de football.
Selon lui, le comité exécutif de la FSF, avec la collaboration du ministère des Sports, va établir “une liste retreinte” d’entraîneurs parmi lesquels sera désigné le futur sélectionneur national.
“Nous avons des Sénégalais capables de le faire, ici, au Sénégal, et à l’étranger”, a ajouté M. Senghor en parlant du poste à pourvoir. La Fédération sénégalaise a été “prise de court” par le non-renouvellement du contrat d’Aliou Cissé par l’État sénégalais. Il estime, par ailleurs, que le temps écoulé entre la notification du non-renouvellement du contrat du sélectionneur national et celui de publication de la liste du Sénégal pour le match contre le Malawi “a été court”.