Le ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, Mamadou Talla, mise sur la formation des compétences qui mènent à l’employabilité́. Une formation de courte durée qui ne demande pas beaucoup, mais qui profite au bénéficiaire qui devient aussitôt apte pour le monde professionnel. C’est pour appuyer un tel fait en conformité́ avec l’axe II du Plan Sénégal émergent (Pse) que le fonds de financement de la formation professionnelle et technique sera lancé officiellement, ce matin. Il est estimé à près de 38 milliards de francs Cfa. Selon lui, c’est un cadre idéal et une banque pour le financement de la formation professionnelle, c’est un fonds bien entretenu par le Directeur général et le président du Conseil d’administration. Ce fonds se veut un vecteur de contrôle de l’utilisation des financements des attribués, veiller à l’efficacité́ des actions mises en œuvre. Il s’agit aussi de conduire les études prospectives à l’environnement du développement économique de l’emploi et de la formation professionnelle. Mais aussi d’accompagner les entreprises et les établissements de formation professionnelle et technique dans l’identification et la formulation des programmes de formation.
Ce, en mobilisant les ressources nécessaires au financement de la formation professionnelle et technique. En effet, le financement se fait sur la base d’un projet d’établissement assorti d’un contrat de performance entre les établissements. « Il s’agit d’orienter les formations vers les secteurs prioritaires, les secteurs pour lesquels nous n’avions pas de compétences », a signifié Mamadou Talla. Et de citer, le tourisme, le bâtiment, l’énergie et l’agriculture qui sont, dit-il, autant de secteurs de l’artisanat et de la formation professionnelle. « Dans ces secteurs, on peut amener les jeunes à devenir de petits patron d’entreprises. Il suffit juste que l’appuie soit suivi à la rigueur », a expliqué́ M. Talla.
Ce, en mobilisant les ressources nécessaires au financement de la formation professionnelle et technique. En effet, le financement se fait sur la base d’un projet d’établissement assorti d’un contrat de performance entre les établissements. « Il s’agit d’orienter les formations vers les secteurs prioritaires, les secteurs pour lesquels nous n’avions pas de compétences », a signifié Mamadou Talla. Et de citer, le tourisme, le bâtiment, l’énergie et l’agriculture qui sont, dit-il, autant de secteurs de l’artisanat et de la formation professionnelle. « Dans ces secteurs, on peut amener les jeunes à devenir de petits patron d’entreprises. Il suffit juste que l’appuie soit suivi à la rigueur », a expliqué́ M. Talla.