François Hollande a annoncé ce midi qu’il renonçait à une réforme constitutionnelle, qui comprenait l'extension de la déchéance de nationalité. Il avait annoncé ce souhait d’inscrire la déchéance de nationalité dans la Constitution au lendemain des attentats du 13 novembre.
Après quatre mois de débats acharnés, qui a divisé jusqu’à sa propre majorité, François Hollande a donc renoncé : "J'ai décidé, après m'être entretenu avec les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, de clore le débat constitutionnel", a déclaré le chef de l'Etat à l'issue du Conseil des ministres.
Quatre mois après avoir été applaudi par la quasi totalité des parlementaires à Versailles, il a reconnu "que l'Assemblée nationale et le Sénat ne sont pas parvenus à se mettre d'accord sur un même texte et qu'un compromis paraît même hors d'atteinte" sur la question de la déchéance de nationalité des auteurs d'actes terroristes.
Etat d'urgence oui, déchéance non
Après quatre mois de débats acharnés, qui a divisé jusqu’à sa propre majorité, François Hollande a donc renoncé : "J'ai décidé, après m'être entretenu avec les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, de clore le débat constitutionnel", a déclaré le chef de l'Etat à l'issue du Conseil des ministres.
Quatre mois après avoir été applaudi par la quasi totalité des parlementaires à Versailles, il a reconnu "que l'Assemblée nationale et le Sénat ne sont pas parvenus à se mettre d'accord sur un même texte et qu'un compromis paraît même hors d'atteinte" sur la question de la déchéance de nationalité des auteurs d'actes terroristes.
Etat d'urgence oui, déchéance non