La police de Bassang détient toujours les agents du ministère de l’environnement et le fils du maire de Niaming. Leur libération ne se négocie plus à Bassang, mais à Banjul, parce que le ministre des affaires étrangères a saisi officiellement Banjul. Raison pour laquelle, les policiers qui avaient promis de libérer nos compatriotes hier ont signifié à la délégation dépêchée par l’édile de Niaming qu’ils attendent la décision de Banjul. On soupçonne la Gambie de vouloir juger nos compatriotes mercredi, indique « l’As » et de leur infliger une amende...