Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé dans un communiqué vendredi soir que les deux femmes, Judith Tai Raanan et Natalie Shoshana Raanan, « ont été libérées des mains de l’organisation terroriste Hamas » et se « dirigent vers un point de rendez-vous, dans une militaire du centre du pays, où les attendent les membres de leur famille ».
Les deux otages ont été libérées suite à une médiation du Qatar, selon le Hamas, qui affirme aussi que ces libérations visent à « prouver au peuple américain et au monde entier que les allégations faites par le président américain Joe Biden et son administration fasciste sont sans fondement ».
De son côté, Israël précise qu’elles ne font pas partie d’un quelconque accord.
Le Hamas palestinien a affirmé qu'il travaillait avec des « médiateurs » pour libérer les otages « civils » enlevés lors de son attaque sur le territoire israélien le 7 octobre et qu'il détient depuis dans la bande de Gaza. Dans un communiqué, le mouvement islamiste palestinien a affirmé qu'il « travaille avec tous les médiateurs impliqués pour mettre en œuvre la décision du mouvement de clore le dossier des (otages) civils quand les circonstances sécuritaires le permettent ».
Le rôle du Qatar
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a indiqué avoir « transporté les otages de Gaza vers Israël » et a salué ces premières libérations comme une « lueur d'espoir ». « Nous sommes extrêmement soulagés qu'elles puissent retrouver leur famille après deux semaines d'agonie », a déclaré le CICR dans un communiqué (à consulter ici, en anglais).
Les deux femmes avaient été kidnappées le 7 octobre alors qu'elles se trouvaient en visite au kibboutz (village agricole collectiviste) Nahal Oz. À Doha, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères qatari, Majid Al-Ansari, a confirmé que les deux femmes ont été confiées à la Croix-Rouge dans la bande de Gaza. « L'avancée d'aujourd'hui intervient après plusieurs jours de communication continue entre toutes les parties impliquées. Nous poursuivrons notre dialogue avec les Israéliens et le Hamas, et nous espérons que ces efforts conduiront à la libération de tous les otages civils de toutes les nationalités, dans le but ultime de désamorcer la crise actuelle et de rétablir la paix », a-t-il ajouté.
Israël, avant cette annonce, estimait à 203 le nombre de personnes retenues en otage par le Hamas dans la bande de Gaza depuis l’attaque du 7 octobre – Israéliens, étrangers, civils, soldats. Des otages de 22 nationalités différentes, avec plus de 20 mineurs, et entre 10 et 20 personnes de plus de 60 ans. Selon l’armée israélienne, la majorité est vivante. De son côté, le Hamas affirme que 22 ont été tués dans des bombardements israéliens. Selon l’agence Bloomberg, les gouvernements américains et européens font pression pour qu’Israël retarde son offensive terrestre sur Gaza, afin que les négociations pour obtenir la libération des otages puissent continuer.
Les deux otages ont été libérées suite à une médiation du Qatar, selon le Hamas, qui affirme aussi que ces libérations visent à « prouver au peuple américain et au monde entier que les allégations faites par le président américain Joe Biden et son administration fasciste sont sans fondement ».
De son côté, Israël précise qu’elles ne font pas partie d’un quelconque accord.
Le Hamas palestinien a affirmé qu'il travaillait avec des « médiateurs » pour libérer les otages « civils » enlevés lors de son attaque sur le territoire israélien le 7 octobre et qu'il détient depuis dans la bande de Gaza. Dans un communiqué, le mouvement islamiste palestinien a affirmé qu'il « travaille avec tous les médiateurs impliqués pour mettre en œuvre la décision du mouvement de clore le dossier des (otages) civils quand les circonstances sécuritaires le permettent ».
Le rôle du Qatar
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a indiqué avoir « transporté les otages de Gaza vers Israël » et a salué ces premières libérations comme une « lueur d'espoir ». « Nous sommes extrêmement soulagés qu'elles puissent retrouver leur famille après deux semaines d'agonie », a déclaré le CICR dans un communiqué (à consulter ici, en anglais).
Les deux femmes avaient été kidnappées le 7 octobre alors qu'elles se trouvaient en visite au kibboutz (village agricole collectiviste) Nahal Oz. À Doha, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères qatari, Majid Al-Ansari, a confirmé que les deux femmes ont été confiées à la Croix-Rouge dans la bande de Gaza. « L'avancée d'aujourd'hui intervient après plusieurs jours de communication continue entre toutes les parties impliquées. Nous poursuivrons notre dialogue avec les Israéliens et le Hamas, et nous espérons que ces efforts conduiront à la libération de tous les otages civils de toutes les nationalités, dans le but ultime de désamorcer la crise actuelle et de rétablir la paix », a-t-il ajouté.
Israël, avant cette annonce, estimait à 203 le nombre de personnes retenues en otage par le Hamas dans la bande de Gaza depuis l’attaque du 7 octobre – Israéliens, étrangers, civils, soldats. Des otages de 22 nationalités différentes, avec plus de 20 mineurs, et entre 10 et 20 personnes de plus de 60 ans. Selon l’armée israélienne, la majorité est vivante. De son côté, le Hamas affirme que 22 ont été tués dans des bombardements israéliens. Selon l’agence Bloomberg, les gouvernements américains et européens font pression pour qu’Israël retarde son offensive terrestre sur Gaza, afin que les négociations pour obtenir la libération des otages puissent continuer.