En collaboration avec le Centre des études des Sciences et techniques de l’information (CESTI), les Américains voulaient offrir des gilets aux reporters qui seront sur le terrain pour couvrir la présidentielle. Seulement, la cérémonie de remise de ces gilets qui devait avoir lieu hier mercredi au Cesti a été annulée au dernier moment.
Après vérification, il s’avère que c’est le ministre de l’Intérieur qui s’est opposé à ce qu’une telle opération se tienne. Et Aly Ngouille Ndiaye n’a pas tardé à livrer ses raisons.
Selon le quotidien Source A, le premier flic du pays a saisi l’ambassadeur des États-Unis pour demander des explications sur la présence du drapeau américain sur les gilets qui devaient être remis aux journalistes sénégalais.
« Pourquoi des gilets venant des États-Unis ? Si les journalistes veulent être dotés de gilets, pourquoi ils ne s’orientent pas vers l’État du Sénégal, qui peut leur en fournir? », s’est interrogé Aly Ngouille Ndiaye qui semble rappeler aux Yankees que la présidentielle est une affaire sénégalo-sénégalaise. Dans tous les cas, la section SAES du Cesti a fustigé l’attitude des autorités qu’elle qualifie de liberticide.
Après vérification, il s’avère que c’est le ministre de l’Intérieur qui s’est opposé à ce qu’une telle opération se tienne. Et Aly Ngouille Ndiaye n’a pas tardé à livrer ses raisons.
Selon le quotidien Source A, le premier flic du pays a saisi l’ambassadeur des États-Unis pour demander des explications sur la présence du drapeau américain sur les gilets qui devaient être remis aux journalistes sénégalais.
« Pourquoi des gilets venant des États-Unis ? Si les journalistes veulent être dotés de gilets, pourquoi ils ne s’orientent pas vers l’État du Sénégal, qui peut leur en fournir? », s’est interrogé Aly Ngouille Ndiaye qui semble rappeler aux Yankees que la présidentielle est une affaire sénégalo-sénégalaise. Dans tous les cas, la section SAES du Cesti a fustigé l’attitude des autorités qu’elle qualifie de liberticide.