L'affaire ressemble à bien des égards à un Metoo à la sauce béninoise. Deux journalistes béninoises, Angéla Kpeidja de la télévision nationale et Pricile Kpogbeme, au chômage, ont témoigné sur le "harcèlement sexuel et les abus" commis dans les rédactions au Bénin.
La première a saisi l'occasion du 1er mai, la fête du travail, pour fustiger les humiliations subies, selon elle, par plusieurs femmes journalistes. Sa publication sur Facebook est devenue virale.
La première a saisi l'occasion du 1er mai, la fête du travail, pour fustiger les humiliations subies, selon elle, par plusieurs femmes journalistes. Sa publication sur Facebook est devenue virale.
Sa consœur, Pricile Kpogbeme, lui a emboîté le pas le 3 mai, jour de la célébration de la liberté de la presse. Dans une vidéo postée sur sa page Facebook, la journaliste détaille les différentes abus auxquels elle a fait face dans sa carrière. Selon elle, les femmes sont considérées comme des "objets sexuels" au sein des organes de presse du pays. Son chômage serait lié, d'après elle, à son refus de céder aux avances.
Audience avec le président béninois Patrice Talon
Sur sa page Facebook, le chef de l'Etat béninois, Patrice Talon annonce avoir rencontré les responsables de la télévision nationale béninoise Ortb et la première lanceuse d'alerte, Angéla Kpeidja.
Il a aussi donné son point de vue sur la question du harcèlement sexuel dans les médias béninois.
Source BBC
Sur sa page Facebook, le chef de l'Etat béninois, Patrice Talon annonce avoir rencontré les responsables de la télévision nationale béninoise Ortb et la première lanceuse d'alerte, Angéla Kpeidja.
Il a aussi donné son point de vue sur la question du harcèlement sexuel dans les médias béninois.
Source BBC