Après avoir participé ce jeudi au dialogue sur le fichier électoral, Rewmi d’Idrissa Seck tient que cette rencontre à laquelle il a participé, en tant que parti légalement constitué, était inscrite dans notre agenda avant l’ouverture du soi-disant dialogue national. « C’est une concertation permanente dont la violation des délais de rencontre par le ministre de l’Intérieur nous a conduits à la situation catastrophique que nous avons vécue lors du référendum et que nous sommes venus dénoncer », note le chargé de la communication de Rewmi, interrogé par Seneweb.
Rewmi réitère ainsi sa position de ne participer à aucun dialogue de circonstance qui vise à masquer un deal politique sur le dos des Sénégalais. « Le dialogue étant une vertu ancestrale et cardinale du Sénégal, Rewmi œuvre pour la mise sur pied d’un conseil suprême de la République et d’un observatoire des engagements politiques et des bonnes pratiques de gouvernance pour doter le dialogue national d’un cadre institutionnel inclusif et pluridisciplinaire garantissant une correcte prise en charge des intérêts vitaux, extrêmement importants et importants des populations », note le parti d’Idrissa Seck.
Allant plus loin, Rewmi d’Idrissa Seck réclame des sanctions contre certaines figures de l’opposition.
Le chargé de communication de Rewmi, Thierno Bocoum, interrogé par Seneweb, déclare que « le vice Président du parti (Déthié Fall) s’était rendu à la dernière réunion du cadre de concertation de l’opposition pour dénoncer la rupture du pacte de confiance occasionnée au sein du cadre par la conduite déloyale de Oumar Sarr du Pds et de Mamadou Diop Decroix coordonnateur. Et demander que toutes les conséquences soient tirées ».
Selon Rewmi, à deux occasions, Oumar Sarr et Decroix « ont engagé le cadre sans mandat ni consultation préalable des autres membres ». Alors que le cadre était en pleine préparation d’une marche contre le refus du parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (Apr), de l’installation d’un groupe parlementaire, « les deux personnes incriminées ont négocié à notre insu, avec l’imam Mbaye Niang, un soi-disant arrangement à l’amiable qui devait conduire au départ de Fada et à l’installation du groupe de l’opposition à l’Assemblée Nationale », note le chargé de communication du parti d’Idrissa Seck. Rewmi, par la voix de son Vice-President, Déthié Fall, avait ainsi très fermement dénoncé cette initiative et reçu des assurances que cela ne se reproduirait pas.
Mais Rewmi dit avoir constaté, à l’occasion de l’appel au dialogue du Président Macky Sall que les deux mêmes personnes « ont reconduit les mêmes pratiques déloyales, fermement condamnées par le Président Idrissa Seck lors du séminaire des leaders à Saly qui devait déboucher sur l’adoption d’un code de conduite devant bannir de telles pratiques ». « À ce jour, ce code de conduite est (volontairement ?) bloqué », déplore Thierno Bocoum.
Rewmi réitère ainsi sa position de ne participer à aucun dialogue de circonstance qui vise à masquer un deal politique sur le dos des Sénégalais. « Le dialogue étant une vertu ancestrale et cardinale du Sénégal, Rewmi œuvre pour la mise sur pied d’un conseil suprême de la République et d’un observatoire des engagements politiques et des bonnes pratiques de gouvernance pour doter le dialogue national d’un cadre institutionnel inclusif et pluridisciplinaire garantissant une correcte prise en charge des intérêts vitaux, extrêmement importants et importants des populations », note le parti d’Idrissa Seck.
Allant plus loin, Rewmi d’Idrissa Seck réclame des sanctions contre certaines figures de l’opposition.
Le chargé de communication de Rewmi, Thierno Bocoum, interrogé par Seneweb, déclare que « le vice Président du parti (Déthié Fall) s’était rendu à la dernière réunion du cadre de concertation de l’opposition pour dénoncer la rupture du pacte de confiance occasionnée au sein du cadre par la conduite déloyale de Oumar Sarr du Pds et de Mamadou Diop Decroix coordonnateur. Et demander que toutes les conséquences soient tirées ».
Selon Rewmi, à deux occasions, Oumar Sarr et Decroix « ont engagé le cadre sans mandat ni consultation préalable des autres membres ». Alors que le cadre était en pleine préparation d’une marche contre le refus du parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (Apr), de l’installation d’un groupe parlementaire, « les deux personnes incriminées ont négocié à notre insu, avec l’imam Mbaye Niang, un soi-disant arrangement à l’amiable qui devait conduire au départ de Fada et à l’installation du groupe de l’opposition à l’Assemblée Nationale », note le chargé de communication du parti d’Idrissa Seck. Rewmi, par la voix de son Vice-President, Déthié Fall, avait ainsi très fermement dénoncé cette initiative et reçu des assurances que cela ne se reproduirait pas.
Mais Rewmi dit avoir constaté, à l’occasion de l’appel au dialogue du Président Macky Sall que les deux mêmes personnes « ont reconduit les mêmes pratiques déloyales, fermement condamnées par le Président Idrissa Seck lors du séminaire des leaders à Saly qui devait déboucher sur l’adoption d’un code de conduite devant bannir de telles pratiques ». « À ce jour, ce code de conduite est (volontairement ?) bloqué », déplore Thierno Bocoum.