La roue est-elle en train de tourner dans le mauvais sens pour Cheikh Amar ? Même si on ne peut pas encore répondre par l’affirmative, ses déboires judiciaires tendent à le confirmer. Après sa condamnation par le juge des référés dans cette affaire de vente de villa sise à Ngor Almadies (il a tout de même fait appel), Ndongo Diao et ses avocats ont déposé une assignation en validité d’hypothèque auprès du juge à l’encontre du milliardaire déchu. La vie réserve tellement de surprises…
Cheikh Amar n’est pas au bout de ses peines. Considéré jusque-là comme homme d’affaires prospère, milliardaire à qui tout sourit, bienfaiteur qui peut ouvrir les portes les plus inaccessibles, Cheikh Amar est actuellement empêtré dans des difficultés judiciaires à cause d’une sombre affaire de vente de villa. Est-ce le début d’une décadence après une ascension fulgurante qu’aucun passé ne justifie ? En tout cas, Ndongo Diao, ancien Directeur de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) l’a, comme nous le révélions en milieu de semaine dernière, traîné en justice Cheikh Amar. Ce dernier est accusé par l’ancien Directeur général de l’Artp d’avoir conclu avec lui la vente d’une villa sise à Ngor Alamadies pour une valeur de 300 millions de nos francs. Ndongo Diao avait décaissé 200 millions de francs sur les 300 millions, mais il n’a jamais reçu les clés de la villa. Pire, certains soupçonnent Cheikh Amar d’avoir vendu la même maison à un autre homme d’affaires très riche qui s’active dans le domaine des Btp (nous taisons son nom pour le moment).
D’ailleurs, selon certaines informations, le titre foncier a été saisi. Si nous revenons sur cette affaire, c’est que les conseils de Ndongo Diao ont déposé sur la table du juge des référés une assignation en validité d’hypothèque à l’encontre de Cheikh Amar pour l’empêcher de procéder à une autre vente de la même villa. Ils s’attendent ainsi à ce que le juge valide l’assignation.
Rappelons que sur la perfection de la vente ordonnée par le juge, le patron de Tse a fait appel.
Jotay.net
Cheikh Amar n’est pas au bout de ses peines. Considéré jusque-là comme homme d’affaires prospère, milliardaire à qui tout sourit, bienfaiteur qui peut ouvrir les portes les plus inaccessibles, Cheikh Amar est actuellement empêtré dans des difficultés judiciaires à cause d’une sombre affaire de vente de villa. Est-ce le début d’une décadence après une ascension fulgurante qu’aucun passé ne justifie ? En tout cas, Ndongo Diao, ancien Directeur de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) l’a, comme nous le révélions en milieu de semaine dernière, traîné en justice Cheikh Amar. Ce dernier est accusé par l’ancien Directeur général de l’Artp d’avoir conclu avec lui la vente d’une villa sise à Ngor Alamadies pour une valeur de 300 millions de nos francs. Ndongo Diao avait décaissé 200 millions de francs sur les 300 millions, mais il n’a jamais reçu les clés de la villa. Pire, certains soupçonnent Cheikh Amar d’avoir vendu la même maison à un autre homme d’affaires très riche qui s’active dans le domaine des Btp (nous taisons son nom pour le moment).
D’ailleurs, selon certaines informations, le titre foncier a été saisi. Si nous revenons sur cette affaire, c’est que les conseils de Ndongo Diao ont déposé sur la table du juge des référés une assignation en validité d’hypothèque à l’encontre de Cheikh Amar pour l’empêcher de procéder à une autre vente de la même villa. Ils s’attendent ainsi à ce que le juge valide l’assignation.
Rappelons que sur la perfection de la vente ordonnée par le juge, le patron de Tse a fait appel.
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