D’après des informations rapportées par Walf Quotidien, Ndella Madior Diouf, actuellement détenue provisoirement à la prison pour femmes de Liberté 6, menace de lancer une grève de la faim illimitée. Cette annonce a été faite hier, après que la chambre d’accusation d’appel a rejeté sa demande de mise en liberté provisoire. Malgré cette décision défavorable, la prévenue a déposé une nouvelle requête.
« Si ma demande est à nouveau rejetée, je commencerai une grève de la faim. Je veux être jugée ou libérée. Je refuse que mes droits soient bafoués », a-t-elle déclaré à une source citée par Walf Quotidien. Depuis son arrestation, quatre demandes de mise en liberté provisoire introduites par sa défense ont été rejetées, rapporte le journal.
Ndella Madior Diouf est en détention provisoire depuis le 28 décembre 2023, après son placement sous mandat de dépôt. Elle avait été arrêtée dans le cadre de l’affaire des bébés décédés à la pouponnière Keur Yeurmandé. Sept autres personnes sont également concernées par cette affaire, considérées comme ses présumés complices, sur ordre du doyen des juges d’instruction de Dakar à l’époque, Oumar Maham Diallo.
Les accusations portées contre Ndella Madior Diouf sont lourdes. Elle est poursuivie pour : Exercice illégal de la profession de médecin, Privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort sans intention de la donner, Mise en danger de la vie d’autrui, Non-assistance à personne en danger, Obtention indue de certificats aux fins d’inhumation
À quelques jours de la fin de l’année 2024, Ndella Madior Diouf s’apprête à boucler une année entière en détention préventive. Elle maintient son combat pour obtenir justice et affirme qu’elle est prête à aller jusqu’au bout pour réclamer un jugement équitable ou sa libération. « Je ne veux pas que mes droits soient piétinés », aurait-elle confié.
Cette affaire, largement médiatisée, continue de susciter l’attention de l’opinion publique, en raison des graves accusations portées contre la prévenue. Pour l’instant, la justice ne s’est pas encore prononcée sur la nouvelle demande introduite par ses avocats. L’affaire reste à suivre.
« Si ma demande est à nouveau rejetée, je commencerai une grève de la faim. Je veux être jugée ou libérée. Je refuse que mes droits soient bafoués », a-t-elle déclaré à une source citée par Walf Quotidien. Depuis son arrestation, quatre demandes de mise en liberté provisoire introduites par sa défense ont été rejetées, rapporte le journal.
Ndella Madior Diouf est en détention provisoire depuis le 28 décembre 2023, après son placement sous mandat de dépôt. Elle avait été arrêtée dans le cadre de l’affaire des bébés décédés à la pouponnière Keur Yeurmandé. Sept autres personnes sont également concernées par cette affaire, considérées comme ses présumés complices, sur ordre du doyen des juges d’instruction de Dakar à l’époque, Oumar Maham Diallo.
Les accusations portées contre Ndella Madior Diouf sont lourdes. Elle est poursuivie pour : Exercice illégal de la profession de médecin, Privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort sans intention de la donner, Mise en danger de la vie d’autrui, Non-assistance à personne en danger, Obtention indue de certificats aux fins d’inhumation
À quelques jours de la fin de l’année 2024, Ndella Madior Diouf s’apprête à boucler une année entière en détention préventive. Elle maintient son combat pour obtenir justice et affirme qu’elle est prête à aller jusqu’au bout pour réclamer un jugement équitable ou sa libération. « Je ne veux pas que mes droits soient piétinés », aurait-elle confié.
Cette affaire, largement médiatisée, continue de susciter l’attention de l’opinion publique, en raison des graves accusations portées contre la prévenue. Pour l’instant, la justice ne s’est pas encore prononcée sur la nouvelle demande introduite par ses avocats. L’affaire reste à suivre.